16 jours d’activisme : Des femmes d’Abobo sensibilisées aux violences basées sur le genre
Dans le cadre des 16 jours d’activisme, l’Association des femmes juristes de Côte d’Ivoire (Afjci) dirigée par Me Francine Aka-Anghui, a organisé le mardi 10 décembre 2024, à Abobo-Kennedy, une campagne de sensibilisation des femmes aux Violences basées sur le genre (Vbg).
Cette campagne qui coïncide avec la Journée internationale des droits de l’Homme vise, entre autres, à vulgariser les textes de loi relatifs aux droits de l’Homme en général, et ceux de la femme ainsi que de la fille en particulier ; sensibiliser les femmes et les filles aux violences sexuelles, et aux droits sexuels et reproductifs ; sensibiliser au mariage précoce et au droit foncier rural ; apporter une assistance juridique aux femmes victimes de Vbg.
Il s’agit également de présenter les nouveaux textes de loi dans le code de la famille (lois sur le mariage, sur la minorité, la succession) et leurs impacts sur la société ; d'inciter les populations à dénoncer les cas de Vbg ; d'amener les leaders communautaires et religieux à adhérer à la lutte contre les Vbg et faire en sorte que les communautés sensibilisées s’impliquent davantage dans la lutte contre les violences faites aux femmes.
La présidente de l’Afjci, Me Francine Aka-Anghui, a souligné qu’il s’agit d’une sensibilisation de masse. « Nous avons profité d’abord de la journée du 10 décembre qui est la Journée internationale des droits de l’Homme pour organiser cette activité. Celle-ci vient clôturer les 16 jours d’activisme commencés depuis le 25 novembre », a précisé la présidente des femmes juristes de Côte d’Ivoire.
Selon elle, ce sont des journées dédiées à la sensibilisation à la lutte contre les violences basées sur le genre. « L’objectif est d’informer les populations sur l’existence des Journées des droits de l’Homme, des journées d’activisme contre les Vbg », a insisté Me Francine Aka-Anghui, rappelant que le droit s’applique à tout le monde.
A l’en croire, les Vbg ne concernent pas que les femmes, elles concernent également les hommes. Car des femmes commettent des violences sur les hommes même si elles sont minoritaires. « Cette lutte vise à permettre une vie harmonieuse, paisible en société », dit-elle.
Félix Ballet, éducateur spécialisé, a indiqué que les violences basées sur le genre peuvent conduire à la dépression, à l'anxiété et même causer des traumatismes psychiques qui peuvent aller jusqu’à 25 ans. Avant d'inviter les populations à dénoncer les cas de violence.
Il s’agit également de présenter les nouveaux textes de loi dans le code de la famille (lois sur le mariage, sur la minorité, la succession) et leurs impacts sur la société ; d'inciter les populations à dénoncer les cas de Vbg ; d'amener les leaders communautaires et religieux à adhérer à la lutte contre les Vbg et faire en sorte que les communautés sensibilisées s’impliquent davantage dans la lutte contre les violences faites aux femmes.
La présidente de l’Afjci, Me Francine Aka-Anghui, a souligné qu’il s’agit d’une sensibilisation de masse. « Nous avons profité d’abord de la journée du 10 décembre qui est la Journée internationale des droits de l’Homme pour organiser cette activité. Celle-ci vient clôturer les 16 jours d’activisme commencés depuis le 25 novembre », a précisé la présidente des femmes juristes de Côte d’Ivoire.
Selon elle, ce sont des journées dédiées à la sensibilisation à la lutte contre les violences basées sur le genre. « L’objectif est d’informer les populations sur l’existence des Journées des droits de l’Homme, des journées d’activisme contre les Vbg », a insisté Me Francine Aka-Anghui, rappelant que le droit s’applique à tout le monde.
A l’en croire, les Vbg ne concernent pas que les femmes, elles concernent également les hommes. Car des femmes commettent des violences sur les hommes même si elles sont minoritaires. « Cette lutte vise à permettre une vie harmonieuse, paisible en société », dit-elle.
Félix Ballet, éducateur spécialisé, a indiqué que les violences basées sur le genre peuvent conduire à la dépression, à l'anxiété et même causer des traumatismes psychiques qui peuvent aller jusqu’à 25 ans. Avant d'inviter les populations à dénoncer les cas de violence.