Le rôle du Maep expliqué aux étidiant. (DR)
Promotion de la paix: Pr David Moussa Soro, président du Maep explique le rôle joué par sa structure
Autour du thème « le Mécanisme africain d’évaluation par les pairs (Maep), son rôle et sa contribution à la promotion de la paix et au développement en Afrique », l’école doctorale de Bingerville a organisé une conférence, le 24 avril 2024.
Face aux étudiants du pôle philosophique, le Prof. David Moussa Soro, président de la commission nationale du Maep, a soutenu que la promotion de la paix est au cœur du processus du Maep, dispositif de contrôle réciproque visant à favoriser la bonne gouvernance des pays membres.
Relevant le défi de la contribution à la promotion de la paix, David Moussa Soro a mis en avant les valeurs de transparence, de responsabilité et de dialogue qui doivent exister entre les nations africaines.
Dans son argumentation, il a expliqué que sa structure se positionne comme acteur de développement de l’Afrique. Raison pour laquelle, elle encourage la réédition des comptes et la promotion de la transparence dans la gestion des affaires publiques.
Aussi a-t-il signifié que le Maep aide les pays africains à renforcer leurs institutions et leurs capacités pour mettre en œuvre des réformes et des politiques efficaces. Cela contribue à améliorer la prestation des services publics, à stimuler la croissance économique et à réduire la pauvreté.
Par ailleurs, elle implique la participation active des gouvernements, de la société civile, du secteur privé et d’autres acteurs clés dans son processus d’évaluation.
À l’en croire, cela garantit une approche inclusive et participative du développement et renforce l’appropriation des réformes par l’ensemble de la société indispensable à leur mise en œuvre efficace.
Lire aussi : Promotion de la paix : Une organisation voit le jour
Tout en rappelant que le Maep a été créé par la volonté des Chefs d’État africains dans le but de s’auto-évaluer et de partager les expériences de gouvernance, il a cependant fait savoir que ce dispositif de contrôle réciproque des Etats membres doit relever des défis.
Ce, afin de continuer à jouer un rôle significatif dans la promotion de la gouvernance démocratique, du développement durable et de la prospérité en Afrique.
Terminant, il a rappelé que c’est le 29 janvier 2015 à Addis-Abeba que le Président Alassane Ouattara a paraphé le protocole d’accord notifiant l’adhésion de la Côte d’Ivoire au Maep.
Lire aussi : Journée nationale de la paix : L’appel de la ministre Belmonde Dogo
Relevant le défi de la contribution à la promotion de la paix, David Moussa Soro a mis en avant les valeurs de transparence, de responsabilité et de dialogue qui doivent exister entre les nations africaines.
Dans son argumentation, il a expliqué que sa structure se positionne comme acteur de développement de l’Afrique. Raison pour laquelle, elle encourage la réédition des comptes et la promotion de la transparence dans la gestion des affaires publiques.
Aussi a-t-il signifié que le Maep aide les pays africains à renforcer leurs institutions et leurs capacités pour mettre en œuvre des réformes et des politiques efficaces. Cela contribue à améliorer la prestation des services publics, à stimuler la croissance économique et à réduire la pauvreté.
Par ailleurs, elle implique la participation active des gouvernements, de la société civile, du secteur privé et d’autres acteurs clés dans son processus d’évaluation.
À l’en croire, cela garantit une approche inclusive et participative du développement et renforce l’appropriation des réformes par l’ensemble de la société indispensable à leur mise en œuvre efficace.
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Tout en rappelant que le Maep a été créé par la volonté des Chefs d’État africains dans le but de s’auto-évaluer et de partager les expériences de gouvernance, il a cependant fait savoir que ce dispositif de contrôle réciproque des Etats membres doit relever des défis.
Ce, afin de continuer à jouer un rôle significatif dans la promotion de la gouvernance démocratique, du développement durable et de la prospérité en Afrique.
Terminant, il a rappelé que c’est le 29 janvier 2015 à Addis-Abeba que le Président Alassane Ouattara a paraphé le protocole d’accord notifiant l’adhésion de la Côte d’Ivoire au Maep.
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