Le ministre de la Défense burkinabè (à gauche) et le ministre d’État ivoirien, ministre de la Défense ont échangé le 19 avril 2024. (Ph: Dr)
Le ministre de la Défense burkinabè (à gauche) et le ministre d’État ivoirien, ministre de la Défense ont échangé le 19 avril 2024. (Ph: Dr)
Frontière Côte d'Ivoire-Burkina Faso : Les ministres de la Défense des deux pays se sont parlé
Le ministre de la Défense burkinabè, Kassoum Coulibaly et le ministre d’État ivoirien, ministre de la Défense, Téné Birahima Ouattara se sont parlé. C’était le vendredi 19 avril à Niangoloko, au Burkina Faso, près de la frontière.
Niangoloko est un département du Burkina Faso situé dans la province de la Comoé et dans la région des Cascades.
Il s’est agi, selon le général Kassoum Coulibaly, de « fraternité » et de « nouveau départ ». Notamment dans la lutte contre le terrorisme et différents trafics.
« Nous espérons prendre un nouveau départ, pour lutter efficacement contre le terrorisme et différents trafics à nos frontières (...) Les peuples qui sont de part et d’autre de ces frontières ont pratiquement beaucoup de choses en commun », a indiqué général Kassoum Coulibaly faisant état de l’intérêt pour les deux États voisins de « rester ensemble ».
« Nous avons passé en revue tous les points des relations entre les deux pays », a confirmé Téné Birahima Ouattara pour qui il faut « aller de l’avant » et surmonter « les points d’achoppement ».
A lire la suite dans Fraternité Matin du Lundi 22 avril 2024
Il s’est agi, selon le général Kassoum Coulibaly, de « fraternité » et de « nouveau départ ». Notamment dans la lutte contre le terrorisme et différents trafics.
« Nous espérons prendre un nouveau départ, pour lutter efficacement contre le terrorisme et différents trafics à nos frontières (...) Les peuples qui sont de part et d’autre de ces frontières ont pratiquement beaucoup de choses en commun », a indiqué général Kassoum Coulibaly faisant état de l’intérêt pour les deux États voisins de « rester ensemble ».
« Nous avons passé en revue tous les points des relations entre les deux pays », a confirmé Téné Birahima Ouattara pour qui il faut « aller de l’avant » et surmonter « les points d’achoppement ».
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