De nombreux dégâts ont été enregistrés. (Ph: Dr)
Explosion de bouteilles de gaz à la Riviera Palmeraie : Les victimes dans la désolation
Des yeux larmoyants, des visages graves, les victimes des explosions des bouteilles de gaz butane à la Riviera Palmeraie étaient impuissantes face aux flammes qui ont ravagé leurs maisons.
Le drame qui s’est produit le samedi 30 mars 2024, a anéanti la vie de Linda Joël Ehouman et ses voisins de la résidence dénommée « Me Théodore » située non loin de la pharmacie Bonoumin dans la commune de Cocody.
Lire aussi : Grave incendie à Cocody: Des bouteilles de gaz explosent et plongent une partie de la Riviera Bonoumin dans l’obscurité
Expliquant les faits, Linda Joël Ehouman a fait savoir que le feu s'est déclenché aux environs de 17h 40 min dans un dépôt de gaz domestique. Elle était couchée chez elle, lorsqu’elle a entendu une détonation. Sans trop comprendre ce qui se passait, elle a eu le réflexe de récupérer précipitamment ses enfants qui jouaient dans la cour pour les mettre à l’abri loin de la zone de l'explosion.
Si aucune perte en vie humaine n'a été enregistrée, force est de constater qu’il y a eu de nombreux dégâts matériels. « Mon appartement est totalement consumé. Mes bijoux, mes diplômes... j’ai tout perdu », a-t-elle déploré.
Sur place, il est donné de voir de nombreuses bouteilles de gaz qui ont explosé et projeté hors du dépôt. Et Martin, un témoin, de relater sa version des faits : « J’ai entendu de fortes détonations depuis mon domicile situé à 7 km d’ici. Elles nous ont fait penser à des détonations d’armes de guerre ». Ce dernier avoue être venu au secours de sa sœur résidant à quelques encablures du lieu de l’incendie.
Lire aussi : Bénin: un incendie meurtrier ravage un dépôt de carburant de contrebande
Livrant son témoignage, Gaspard Coulémou a annoncé que le feu a détruit son atelier de plomberie. « J’étais en intervention lorsque j’ai reçu un coup de fil me disant que l’explosion a tout ravagé même ma petite entreprise », a-t-il dit la gorge nouée.
Alertés, les sapeurs-pompiers se sont dépêchés sur place pour circonscrire les flammes.
Même si aucune perte en vie humaine n’est à déplorer, les dégâts matériels sont énormes, dont une résidence de six (6) appartements ravagée et des commerces détruits.
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Expliquant les faits, Linda Joël Ehouman a fait savoir que le feu s'est déclenché aux environs de 17h 40 min dans un dépôt de gaz domestique. Elle était couchée chez elle, lorsqu’elle a entendu une détonation. Sans trop comprendre ce qui se passait, elle a eu le réflexe de récupérer précipitamment ses enfants qui jouaient dans la cour pour les mettre à l’abri loin de la zone de l'explosion.
Si aucune perte en vie humaine n'a été enregistrée, force est de constater qu’il y a eu de nombreux dégâts matériels. « Mon appartement est totalement consumé. Mes bijoux, mes diplômes... j’ai tout perdu », a-t-elle déploré.
Sur place, il est donné de voir de nombreuses bouteilles de gaz qui ont explosé et projeté hors du dépôt. Et Martin, un témoin, de relater sa version des faits : « J’ai entendu de fortes détonations depuis mon domicile situé à 7 km d’ici. Elles nous ont fait penser à des détonations d’armes de guerre ». Ce dernier avoue être venu au secours de sa sœur résidant à quelques encablures du lieu de l’incendie.
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Livrant son témoignage, Gaspard Coulémou a annoncé que le feu a détruit son atelier de plomberie. « J’étais en intervention lorsque j’ai reçu un coup de fil me disant que l’explosion a tout ravagé même ma petite entreprise », a-t-il dit la gorge nouée.
Alertés, les sapeurs-pompiers se sont dépêchés sur place pour circonscrire les flammes.
Même si aucune perte en vie humaine n’est à déplorer, les dégâts matériels sont énormes, dont une résidence de six (6) appartements ravagée et des commerces détruits.