Des trafiquants arrêtés. (Ph: Dr)
Abidjan : 4 trafiquants d’ivoires sculptés mis aux arrêts
Spécialisés dans le commerce illégal d’objets en ivoire sculptés, quatre présumés trafiquants ont été mis aux arrêts, récemment, à Abidjan.
Alors que R.T. tentait de vendre 205 objets d’ivoire sculptés (des bracelets, des petites statuettes de tête de bouddha, des chapelets), il a été appréhendé dans la commune de Marcory. Ces nombreux objets étaient dissimulés dans un sac en plastique qu’il tentait de vendre dans une enceinte de la commune.
Les trois autres ont été interpellés à Koumassi au cours d’une perquisition dans leur magasin. Les arrestations ont été possible grâce à la collaboration entre la Direction de la police forestière et de l’eau du ministère des Eaux et Forêts (Dpfe-Minef) et Eagle-Côte d’Ivoire.
Arrêtés pour flagrant délit de détention, de circulation et de commercialisation illégale de produits fauniques, les quatre présumés trafiquants ont été placés en garde à vue à l’Uct à Abidjan-Cocody. Avant d’être déférés le 3 décembre 2024, au Pôle pénal, économique et financier d’Abidjan-Cocody. L’affaire a été mise en instruction.
Indiquons que ces personnes arrêtées pratiquent toutes la sculpture à la base, mais elles mènent d’autres activités de trafiquants de produits issus de la faune.
Rappelons par ailleurs qu’elles appartiendraient à un vaste réseau de trafic d’ivoire qui va au-delà des frontières ivoiriennes. Ces dernières avaient été citées en 2018 dans l’affaire de trois trafiquants asiatiques nommés « Tran, van, Tu, l’un des réseaux du crime faunique les plus sophistiqués de l’époque. Ce réseau criminel était chapeauté par un trafiquant international vietnamien, Phung Tan Hung. »
Plusieurs des membres dudit réseau avaient été jugés et reconnus coupables pour infraction à la législation relative à la protection de la faune et à l’exercice de la chasse, complicité de ladite infraction.
Leur réseau avait été démantelé lors d’une opération dénommée « Stop à l’ivoire » lancée successivement en janvier et mars 2018 par les autorités ivoiriennes avec l’assistance technique de Eagle-Côte d’Ivoire et Eagle international.
À l’époque, 469,15 kg d’ivoire et 578 kg d’écailles de pangolin avaient fait l’objet de saisie représentant des parties d’espèces intégralement protégées par la loi faunique ivoirienne précitée.
Les trois autres ont été interpellés à Koumassi au cours d’une perquisition dans leur magasin. Les arrestations ont été possible grâce à la collaboration entre la Direction de la police forestière et de l’eau du ministère des Eaux et Forêts (Dpfe-Minef) et Eagle-Côte d’Ivoire.
Arrêtés pour flagrant délit de détention, de circulation et de commercialisation illégale de produits fauniques, les quatre présumés trafiquants ont été placés en garde à vue à l’Uct à Abidjan-Cocody. Avant d’être déférés le 3 décembre 2024, au Pôle pénal, économique et financier d’Abidjan-Cocody. L’affaire a été mise en instruction.
Indiquons que ces personnes arrêtées pratiquent toutes la sculpture à la base, mais elles mènent d’autres activités de trafiquants de produits issus de la faune.
Rappelons par ailleurs qu’elles appartiendraient à un vaste réseau de trafic d’ivoire qui va au-delà des frontières ivoiriennes. Ces dernières avaient été citées en 2018 dans l’affaire de trois trafiquants asiatiques nommés « Tran, van, Tu, l’un des réseaux du crime faunique les plus sophistiqués de l’époque. Ce réseau criminel était chapeauté par un trafiquant international vietnamien, Phung Tan Hung. »
Plusieurs des membres dudit réseau avaient été jugés et reconnus coupables pour infraction à la législation relative à la protection de la faune et à l’exercice de la chasse, complicité de ladite infraction.
Leur réseau avait été démantelé lors d’une opération dénommée « Stop à l’ivoire » lancée successivement en janvier et mars 2018 par les autorités ivoiriennes avec l’assistance technique de Eagle-Côte d’Ivoire et Eagle international.
À l’époque, 469,15 kg d’ivoire et 578 kg d’écailles de pangolin avaient fait l’objet de saisie représentant des parties d’espèces intégralement protégées par la loi faunique ivoirienne précitée.