Le Comité national de lutte contre la contrefaçon a entrepris une tournée de formation, de sensibilisation et de répression portant sur les dangers de la contrefaçon, la santé et les atteintes aux droits de propriété des marques.

À cet effet, douaniers, gendarmes et policiers ont bénéficié, le 4 décembre 2024, à la salle de conférences de la préfecture de Bouaké, d’une formation sur le projet « Stop contrefaçon ».

À l’ouverture de cette séance, Jean-François Vanié Bi Trazié, secrétaire général de préfecture de Bouaké, a engagé les forces de l’ordre à maintenir leur niveau de vigilance face à la contrefaçon. Un phénomène qui a des répercussions négatives sur la santé des populations, mais aussi sur l’économie nationale.

Le lieutenant-colonel des douanes, Germain Eliamond Zouhouri Gbiliga, le formateur, a mis l’accent sur la différence entre les produits originaux et ceux contrefaits. Après cette rencontre, une sensibilisation de proximité dans les marchés a été menée.

« Ce contact de proximité a permis d’échanger avec les différents acteurs du commerce dans les secteurs, tels que alimentaire, cosmétique, textile, tabac », a-t-il ajouté. Non sans préciser qu’un numéro vert le 05-66-66-75-45 est à la disposition de la population dénoncer tout contrefacteur.

CORRESPONDANT REGIONAL