Cultures vivrières: Des potentialités agricoles de la vallée du Bandama exposées

Une vue des participants à la tribune d'échanges du District de la Vallée du Bandama. Photo Dr
Une vue des participants à la tribune d'échanges du District de la Vallée du Bandama. Photo Dr
Une vue des participants à la tribune d'échanges du District de la Vallée du Bandama. Photo Dr

Cultures vivrières: Des potentialités agricoles de la vallée du Bandama exposées

Le 03/03/24 à 22:00
modifié 03/03/24 à 22:00
La 1re édition de l’année des « Jeudis du district », tribune d’échanges du District autonome de la Vallée du Bandama, a eu lieu le 1er mars 2024. C’est la directrice régionale de l’agriculture, du développement rural et des productions vivrières des régions de Gbêkê et du Hambol, et le directeur de l’Office d’aide à la commercialisation des produits vivriers (Ocpv) de Gbêkê, qui ont été invités se prononcer sur le thème : « Développement et promotion du vivrier dans le district autonome de la Vallée du Bandama ». Et ce, en présence de Jean Claude Kouassi, ministre-gouverneur du district autonome de la Vallée du Bandama. Qui n’a pas manqué, dans son discours introductif, d’indiquer que l’autosuffisance alimentaire est un défi que chaque pays s’évertue à relever. D’ailleurs, dira-t-il, la Côte d’Ivoire, aujourd’hui, plus que par le passé, s’engage à exploiter ses énormes potentialités pour atténuer les chocs internes et externes qui affectent le secteur agricole et à garantir sa souveraineté et partant, à réduire ses importations de produits alimentaires de base, notamment à travers une augmentation substantielle de la production de riz, de maïs et de manioc.

Face à ces enjeux, le district de la Vallée du Bandama a-t-il de réelles potentialités pour aider la Côte d’Ivoire à relever le défi de l’autosuffisance en produits vivriers ? Dans son exposé, Yvette Assamoi Bléoué, directrice régionale de l’agriculture, du développement rural et des productions vivrières, a affirmé que le district de la Vallée du Bandama a de réels atouts à travers ces deux régions que sont le Gbêkê et le Hambol. A travers l’étendue du district, les aménagements agricoles qui existent, le climat, le relief, etc. « Il faut dire que tous les aspects physiques sont réunis par notre district pour la pratique des cultures vivrières », dira-t-elle.

Norbert N’Guessan, directeur régional de l’Ocpv, se confiant à la presse, a ajouté : « Le district a d’énormes potentialités par rapport à l’espace cultivable. Il faut savoir que les deux tiers des espaces cultivables sont consacrés à la pratique du vivrier. »
Correspondant régional

Le 03/03/24 à 22:00
modifié 03/03/24 à 22:00