La victoire des Éléphants lors de la 34e édition de la Coupe d'Afrique des nations. (Ph: Dr)
La case des mots : De risibles à invincibles !
Impossible ! Indescriptible, imprévisible, cette victoire nous drible ! Possible, elle n’était pas plausible. Illisible, inintelligible, le jeu incompréhensible des Eléphants les rendait invisibles. Terrible, horrible, aura été cette défaite imprévisible par un score risible face à des Équato-guinéens loin d’être invincibles ou inaccessibles.
Résistible défense, pénible milieu, attaque intangible, nos Eléphants ont été des cibles, passibles de tous les griefs possibles. Inadmissibles, incompréhensibles, leurs défaites furent passées au crible par des supporters sensibles, susceptibles, irascibles. Sensible à ces défaites, le premier capitaine Alassane Ouattara, tel le fer infusible, a montré une foi incompressible, indéfectible.
Disponible, d’un soutien infrangible, il jugeait ces Eléphants rémissibles. Le fusible sauté, tout est devenu perfectible, corrigible. Faillibles, risibles, longtemps invisibles, les mêmes Eléphants ont fini par être visibles, invincibles, insubmersibles. Indicible !
Disponible, d’un soutien infrangible, il jugeait ces Eléphants rémissibles. Le fusible sauté, tout est devenu perfectible, corrigible. Faillibles, risibles, longtemps invisibles, les mêmes Eléphants ont fini par être visibles, invincibles, insubmersibles. Indicible !