Défis de l’instabilité: Environ 160 hommes de médias de 49 pays dont la Côte d’Ivoire unis pour le journalisme de paix
« La perspective des médias sur la résolution des conflits ». Tel est le thème de l’événement en ligne à l’initiative de l'organisation internationale pour la paix Heavenly Culture, World Peace, Restoration of Light (Hwpl). L’événement a enregistré environ 160 journalistes de 49 pays dont la Côte d’Ivoire.
Cette année, l'atelier international de Hwpl sur le journalisme de paix a été marqué par la publication de son deuxième journal, "Peace Journalism Studies", produit en coopération avec 9 journalistes du monde entier.
Il faut signaler que cet événement visait à partager les idées du journalisme pour la paix, à faire entendre la voix collective du réseau international des médias pour la paix et à suggérer des plans d'action futurs. Et ce, pour inciter les habitants de la planète à avoir la paix à l'esprit.
Parmi les contributeurs, six orateurs ont prononcé des discours sur le rôle des médias dans la construction de la paix, les questions liées à la paix, le journalisme pour la paix et la sécurité mondiale.
Selon Innocent Yuh, coordinateur régional de l'Association camerounaise des professionnels des médias (Camp) pour la région du Sud-Ouest du Cameroun, le journalisme de paix apparaît comme un phare de clarté, un instrument d'empathie et un catalyseur de changements significatifs. Mieux ce journalisme se déploie comme un conduit pour un dialogue ouvert, a-t-il souligné.
Fournissant, dira-t-il, des plateformes pour des perspectives variées. Toute chose qui vise à cultiver un engagement profond avec la nature multidimensionnelle du conflit et de la résolution. « Nous ne nous contentons pas de sensibiliser les gens, nous les incitons aussi à s'engager activement dans la recherche de la paix, accélérant ainsi l'avènement d'un monde pacifique », a expliqué Lok Bahadur Chaudhary, fondateur et éditeur de Hamarpahura.com.
Quant au fondateur de The African Dream Company d’Oral Ofori, il a déclaré que les médias sociaux permettent à des personnes de cultures et d'horizons différents de communiquer directement les unes avec les autres. « Les interactions sur ces plateformes numériques, lorsqu'elles sont utilisées de manière positive, peuvent favoriser l'émergence d'une communauté mondiale qui œuvre collectivement en faveur de la paix et de la compréhension mutuelle. Les rapports ont attiré l'attention sur des conflits qui, autrement, seraient passés inaperçus ou n'auraient pas été signalés », dira-t-il.
Pour sa part, Rana Setiawan, journaliste en chef de l'agence de presse islamique Mira (Mina), a indiqué qu'en 2022, 60 % du public estimaient que les informations qu'ils recevaient sont biaisées voire désinformées.
A l’en croire, dans sa signification et ses principes, le journalisme de paix est une pratique journalistique qui vise à minimiser les conflits.
Ce type de journalisme, a-t-il indiqué, vise à promouvoir le dialogue et à contribuer à la construction de la paix dans la société. Et d’ajouter que Hwpl est la seule organisation internationale non gouvernementale qui appelle tous les médias à promouvoir la paix.
Il faut signaler que cet événement visait à partager les idées du journalisme pour la paix, à faire entendre la voix collective du réseau international des médias pour la paix et à suggérer des plans d'action futurs. Et ce, pour inciter les habitants de la planète à avoir la paix à l'esprit.
Parmi les contributeurs, six orateurs ont prononcé des discours sur le rôle des médias dans la construction de la paix, les questions liées à la paix, le journalisme pour la paix et la sécurité mondiale.
Selon Innocent Yuh, coordinateur régional de l'Association camerounaise des professionnels des médias (Camp) pour la région du Sud-Ouest du Cameroun, le journalisme de paix apparaît comme un phare de clarté, un instrument d'empathie et un catalyseur de changements significatifs. Mieux ce journalisme se déploie comme un conduit pour un dialogue ouvert, a-t-il souligné.
Fournissant, dira-t-il, des plateformes pour des perspectives variées. Toute chose qui vise à cultiver un engagement profond avec la nature multidimensionnelle du conflit et de la résolution. « Nous ne nous contentons pas de sensibiliser les gens, nous les incitons aussi à s'engager activement dans la recherche de la paix, accélérant ainsi l'avènement d'un monde pacifique », a expliqué Lok Bahadur Chaudhary, fondateur et éditeur de Hamarpahura.com.
Quant au fondateur de The African Dream Company d’Oral Ofori, il a déclaré que les médias sociaux permettent à des personnes de cultures et d'horizons différents de communiquer directement les unes avec les autres. « Les interactions sur ces plateformes numériques, lorsqu'elles sont utilisées de manière positive, peuvent favoriser l'émergence d'une communauté mondiale qui œuvre collectivement en faveur de la paix et de la compréhension mutuelle. Les rapports ont attiré l'attention sur des conflits qui, autrement, seraient passés inaperçus ou n'auraient pas été signalés », dira-t-il.
Pour sa part, Rana Setiawan, journaliste en chef de l'agence de presse islamique Mira (Mina), a indiqué qu'en 2022, 60 % du public estimaient que les informations qu'ils recevaient sont biaisées voire désinformées.
A l’en croire, dans sa signification et ses principes, le journalisme de paix est une pratique journalistique qui vise à minimiser les conflits.
Ce type de journalisme, a-t-il indiqué, vise à promouvoir le dialogue et à contribuer à la construction de la paix dans la société. Et d’ajouter que Hwpl est la seule organisation internationale non gouvernementale qui appelle tous les médias à promouvoir la paix.