Abidjan : Le Repprelci invite à plus de responsabilité sur les réseaux sociaux
Dans sa logique de lutter efficacement contre la désinformation, les discours de haine et les fausses informations (Fake News), le Réseau des professionnels de la presse en ligne de Côte d’Ivoire (Repprelci) s’est rabattu sur la capitale Abidjanaise, le lundi 19 février 2024. Ainsi, après les villes de Korhogo, Bouaké, Yamoussoukro, des apprenants ont reçu dans leurs écoles respectives, la caravane initiée dans le cadre du projet Impact financé par l’Afd et l’Union européenne.
À Yopougon, la plus grande commune d’Abidjan, les élèves des écoles « Groupe scolaire Gbaédji (450 élèves) et Groupe scolaire Koné Idrissa (800 élèves) ont été très attentives aux formateurs. Les journalistes conviés à la tâche ont mis ces jeunes face à leurs responsabilités sur les actions menées sur les réseaux sociaux.
À les en croire, tout ce qui est publié sur internet n’est pas net. Raison pour laquelle il faut toujours vérifier les informations avant de les partager ou d’interagir. Mieux les apprenants ont été invités à s’abstenir en ne relayant pas les messages de diffamations, de haine, d’incitation à la haine...
« Éviter les images compromettantes, qui montrent votre nudité par exemple... vos publications reflètent votre vie réelle. Nous vous encourageons à être des modèles et à publier des informations justes et vraies sur internet », ont-ils exhorté.
Avant de rappeler que l’article 97 de la loi portant régime juridique de la presse de décembre 2017 (désormais étendue à la presse en ligne) précise que la publication de fausses nouvelles est punie d’une amende d’un million à cinq millions FCfa et des peines privatives qui vont jusqu’à deux (2) ans.
La formation, s’est poursuivie au collège privé Merlan d’Adjamé Paillet où 136 élèves ont été instruits. Heureux de cette visite, monsieur Séa Souleymane éducateur dans ledit établissement a remercié l’équipe Axe 1 du Repprelci.
Pour lui, ces genres de caravane devraient se multiplier parce que les jeunes, et même les adultes ignorent beaucoup de l’utilisation de l’internet qui les expose à la rigueur de la loi.
Yembene Fatoumata élève dans le même établissement, a retenu que les réseaux sociaux ont deux facettes. Autant, ils procurent par moment de la gaieté, ils sont également dangereux lorsqu’ils sont mal utilisés. « Il faut éviter de liker les fausses informations et de les partager...Nos propos sur les réseaux nous rattrapent, il est préférable pour nous de s’abstenir surtout que nous ne sommes pas encore majeures », a indiqué l’élève en classe de 3e.
À les en croire, tout ce qui est publié sur internet n’est pas net. Raison pour laquelle il faut toujours vérifier les informations avant de les partager ou d’interagir. Mieux les apprenants ont été invités à s’abstenir en ne relayant pas les messages de diffamations, de haine, d’incitation à la haine...
« Éviter les images compromettantes, qui montrent votre nudité par exemple... vos publications reflètent votre vie réelle. Nous vous encourageons à être des modèles et à publier des informations justes et vraies sur internet », ont-ils exhorté.
Avant de rappeler que l’article 97 de la loi portant régime juridique de la presse de décembre 2017 (désormais étendue à la presse en ligne) précise que la publication de fausses nouvelles est punie d’une amende d’un million à cinq millions FCfa et des peines privatives qui vont jusqu’à deux (2) ans.
La formation, s’est poursuivie au collège privé Merlan d’Adjamé Paillet où 136 élèves ont été instruits. Heureux de cette visite, monsieur Séa Souleymane éducateur dans ledit établissement a remercié l’équipe Axe 1 du Repprelci.
Pour lui, ces genres de caravane devraient se multiplier parce que les jeunes, et même les adultes ignorent beaucoup de l’utilisation de l’internet qui les expose à la rigueur de la loi.
Yembene Fatoumata élève dans le même établissement, a retenu que les réseaux sociaux ont deux facettes. Autant, ils procurent par moment de la gaieté, ils sont également dangereux lorsqu’ils sont mal utilisés. « Il faut éviter de liker les fausses informations et de les partager...Nos propos sur les réseaux nous rattrapent, il est préférable pour nous de s’abstenir surtout que nous ne sommes pas encore majeures », a indiqué l’élève en classe de 3e.