Le Burkina Faso a peiné avant de scorer face à la Mauritanie. (Ph: Dr)
Can 2023 (Poule D) : Le Burkina Faso, difficile vainqueur de la Mauritanie
Les Etalons du Faso ont disposé des Mourabitounes de la Mauritanie cet après-midi au stade de la Paix de Bouaké (1-0).
Donnés favori dans cette rencontre comptant pour le groupe D, Hervé Koffi et le Faso ont eu de la peine à déstabiliser la sélection mauritanienne.
Les poulains du sélectionneur Amir Abdou sont restés solides dans tous les compartiments du jeu. A l'image de Babacar Niasse, le solide gardien mauritanien et son 1,96 m qui aura été une muraille infranchissable pour Ki Aziz et ses coéquipiers.
Les Mourabitounes n'ont pas seulement fait que défendre puisque des occasions de buts, ils en ont eu. Mais à chaque fois, ils se sont heurtés à un excellent Hervé Koffi.
Il aura fallu les arrêts de jeu et un penalty transformé par l'inusable Bertrand Traoré pour donner l'avantage aux Étalons. Grâce à cette petite mais précieuse victoire, le Burkina Faso prend la tête du groupe D.
Le sélectionneur Hubert Velud et ses poulains affronteront les Fennecs d'Alger pour leur deuxième sortie le samedi 20 janvier 2024, quand la Mauritanie sera opposée à l'Angola.
Une correspondance particulière de Alain Zama
Les poulains du sélectionneur Amir Abdou sont restés solides dans tous les compartiments du jeu. A l'image de Babacar Niasse, le solide gardien mauritanien et son 1,96 m qui aura été une muraille infranchissable pour Ki Aziz et ses coéquipiers.
Les Mourabitounes n'ont pas seulement fait que défendre puisque des occasions de buts, ils en ont eu. Mais à chaque fois, ils se sont heurtés à un excellent Hervé Koffi.
Il aura fallu les arrêts de jeu et un penalty transformé par l'inusable Bertrand Traoré pour donner l'avantage aux Étalons. Grâce à cette petite mais précieuse victoire, le Burkina Faso prend la tête du groupe D.
Le sélectionneur Hubert Velud et ses poulains affronteront les Fennecs d'Alger pour leur deuxième sortie le samedi 20 janvier 2024, quand la Mauritanie sera opposée à l'Angola.
Une correspondance particulière de Alain Zama