Le président Ouégnin, à gauche, veut donner une place de choix au sport équestre dans le paysage du sport dans le pays. (Ph: Dr)
Le président Ouégnin, à gauche, veut donner une place de choix au sport équestre dans le paysage du sport dans le pays. (Ph: Dr)
Équitation : La nouvelle saison sous de meilleurs auspices
La Fédération ivoirienne d’équitation (Fie) a tenu son assemblée générale ordinaire le 5 janvier 2024, à l’Espace Cristal, à Abidjan.
Le président Stéphane Ouégnin, entouré de toute son équipe et des hauts responsables du Comité national olympique (Cno) dont il est un des vice-présidents, est revenu largement sur l’exercice écoulé. Il a surtout ouvert des perspectives heureuses pour la discipline qui s’implante de plus en plus dans le pays.
Après la lecture des rapports d’activité et autre présentation de calendrier et budget approuvés par l’assemblée générale, l’on retient que le sport équestre est en plein essor en Côte d’Ivoire.
En peu de temps, le pays d’Alassane Ouattara est devenu une référence en la matière sur le continent et particulièrement dans la sous-région où plusieurs pays de la Cedeao souhaitent bénéficier de son parrainage pour accéder à la cour des grands : la Fédération équestre internationale (Fei).
En une saison, c’est vrai qu’il n’y a pas eu beaucoup de compétitions, mais la fédération, avec l'appui de Fei Solidarité, a organisé plusieurs sessions de formation à l’intention des vétérinaires spécialisés, des moniteurs, des maréchaux-ferrants, des entraîneurs et chefs de piste.
La saison écoulée a vu le drapeau ivoirien flotter dans le ciel européen grâce à Rania Dindane. Sans oublier le gros œuvre sorti de terre du côté Mondoukou. Il s’agit du club fédéral, un joyau touristique doté de 80 box (3 mètres sur 3 pour les étalons et 4X4 pour les juments) avec deux carrières aux normes internationales et des aires de repos.
De véritables balises pour le développement du sport équestre dans le pays. À propos de la saison 2023-2024 qui s’ouvre, la Fie a présenté un calendrier alléchant, avec la deuxième édition du Grand prix du Président, à Yamoussoukro ainsi que le Grand prix de l’indépendance, à Bouaké.
Il est également inscrit au programme de la saison à venir, un championnat national de course d’obstacles et plusieurs épreuves de rallye équestre, notamment à Mondoukou, Bouaké et Yamoussoukro. Sans oublier la participation ivoirienne aux épreuves internationales telles que Royal marocan Tour, le concours international de Cso avec l’athlète Rania Dindane.
« Nous allons préparer un dossier pour qu’après la Can, nous puissions présenter au gouvernement notre vision de l’équitation en accord avec le développement de la Côte d’Ivoire. Notre objectif est de faire en sorte que la Côte d’Ivoire soit le premier pays de la Cedeao à recevoir l’assemblée générale de la fédération mondiale en 2025. Voir tout le gotha venir découvrir la Côte d’Ivoire est quelque chose de très important. Ce sont 147 personnalités du monde qui viendront. Au-delà de l’assemblée générale, ces puissants hommes et femmes d’affaires pourraient envisager la possibilité d’investir dans le pays », note le patron du sport équestre ivoirien.
Encore une fois, l’on a constaté que l’assemblée générale de la Fie est composée de huit clubs. Les mêmes qui participent régulièrement aux activités fédérales depuis trois ans. Du coup, l’assemblée générale souveraine a pris acte du départ définitif des autres clubs.
« Cela dit, nous restons toujours ouverts. Notre devise étant union, discipline et travail, nous allons toujours œuvrer pour le rassemblement, tendre la main aux autres pour accroître le nombre de clubs et de licenciés de la fédération », a souligné Stéphane Ouégnin. Sauf que pour que les clubs qui sont partis reviennent, ils devront à nouveau s’affilier.
Après la lecture des rapports d’activité et autre présentation de calendrier et budget approuvés par l’assemblée générale, l’on retient que le sport équestre est en plein essor en Côte d’Ivoire.
En peu de temps, le pays d’Alassane Ouattara est devenu une référence en la matière sur le continent et particulièrement dans la sous-région où plusieurs pays de la Cedeao souhaitent bénéficier de son parrainage pour accéder à la cour des grands : la Fédération équestre internationale (Fei).
En une saison, c’est vrai qu’il n’y a pas eu beaucoup de compétitions, mais la fédération, avec l'appui de Fei Solidarité, a organisé plusieurs sessions de formation à l’intention des vétérinaires spécialisés, des moniteurs, des maréchaux-ferrants, des entraîneurs et chefs de piste.
La saison écoulée a vu le drapeau ivoirien flotter dans le ciel européen grâce à Rania Dindane. Sans oublier le gros œuvre sorti de terre du côté Mondoukou. Il s’agit du club fédéral, un joyau touristique doté de 80 box (3 mètres sur 3 pour les étalons et 4X4 pour les juments) avec deux carrières aux normes internationales et des aires de repos.
De véritables balises pour le développement du sport équestre dans le pays. À propos de la saison 2023-2024 qui s’ouvre, la Fie a présenté un calendrier alléchant, avec la deuxième édition du Grand prix du Président, à Yamoussoukro ainsi que le Grand prix de l’indépendance, à Bouaké.
Il est également inscrit au programme de la saison à venir, un championnat national de course d’obstacles et plusieurs épreuves de rallye équestre, notamment à Mondoukou, Bouaké et Yamoussoukro. Sans oublier la participation ivoirienne aux épreuves internationales telles que Royal marocan Tour, le concours international de Cso avec l’athlète Rania Dindane.
« Nous allons préparer un dossier pour qu’après la Can, nous puissions présenter au gouvernement notre vision de l’équitation en accord avec le développement de la Côte d’Ivoire. Notre objectif est de faire en sorte que la Côte d’Ivoire soit le premier pays de la Cedeao à recevoir l’assemblée générale de la fédération mondiale en 2025. Voir tout le gotha venir découvrir la Côte d’Ivoire est quelque chose de très important. Ce sont 147 personnalités du monde qui viendront. Au-delà de l’assemblée générale, ces puissants hommes et femmes d’affaires pourraient envisager la possibilité d’investir dans le pays », note le patron du sport équestre ivoirien.
Encore une fois, l’on a constaté que l’assemblée générale de la Fie est composée de huit clubs. Les mêmes qui participent régulièrement aux activités fédérales depuis trois ans. Du coup, l’assemblée générale souveraine a pris acte du départ définitif des autres clubs.
« Cela dit, nous restons toujours ouverts. Notre devise étant union, discipline et travail, nous allons toujours œuvrer pour le rassemblement, tendre la main aux autres pour accroître le nombre de clubs et de licenciés de la fédération », a souligné Stéphane Ouégnin. Sauf que pour que les clubs qui sont partis reviennent, ils devront à nouveau s’affilier.