Festival zaouli : La 2e édition a tenu toutes ses promesses
Le 4e adjoint, Kpan Georges, représentant le maire Kandia Camara, a remercié la ministre de la Culture et de la Francophonie, Françoise Remarck, pour avoir accepté de parrainer cette cérémonie. « Je voudrais lui traduire notre admiration pour toutes les bonnes initiatives qu’elle entreprend pour le rayonnement de la culture ivoirienne », a indiqué le conseiller municipal. Pour lui, ce festival contribue à soigner l’image de la commune d’Abobo.
« Le maire est fier de vous, surtout le zaouli qui fait partie du patrimoine culturel mondial de l’Unesco depuis 2017. Aujourd’hui, Abobo, commune du partage et de la générosité est la capitale des danses traditionnelles de notre pays. A travers ces danses, c’est l’union, le vivre ensemble, la cohésion sociale et le rapprochement qui sont prônés », s’est-l réjoui, soulignant que ces valeurs sont chères au Président de la République Alassane Ouattara.
C’est pourquoi, le maire Kandia Camara, souhaite que ce festival devienne une institution à Abobo. « Cet événement s’inscrit dans la vision du maire Kandia Camara et du conseil municipal qui ambitionnent de faire d’Abobo, la commune de l’art et de la culture », dit-il. A l’en croire, ce festival vient à point nommé étant donné que les populations de sa circonscription qui se battent au quotidien pour le développement de la Côte d’Ivoire en général et en particulier de la commune d’Abobo, ont besoin un tant soit peu de se récréer, se distraire voire s’enjailler.

La directrice du Centre d’actions culturelles d’Abobo, Mme Bekouan Zagbayou Hortense, représentant la ministre de la Culture et de la Francophonie, Françoise Remarck, marraine de la cérémonie, a félicité les organisateurs pour initiative. Ce festival, dit-elle, permet à la jeune génération d’apprendre sa culture. « Merci à ce festival qui valorise le zaouli en général et en particulier toutes les autres danses du terroir », a déclaré la représentante de la ministre de la culture et de la Francophonie.
Pour sa part, le président du club djiwidou, promoteur de ce festival, Mani Zibgé, a indiqué que l’objectif est de faire en sorte que la culture ivoirienne ne meurt pas et surtout que les enfants aient une idée de la culture des différentes régions du pays. « Cette année il y a neuf danses traditionnelles sur dix qui ont répondu à l’appel », s’est-il félicité.