Les secours évacuent une victime. (Photo : Julien Monsan)
Exercice de simulation: La Sir teste son dispositif de sécurité
La Société ivoirienne de raffinage (Sir) a procédé à un exercice de simulation, le 28 novembre 2023, à Abidjan - Port-Bouët. Il s’agit de son exercice incendie annuel et du déploiement de son Plan de surveillance et d’intervention (Psi).
L’exercice portait sur une importante fuite de pétrole brut sur la ligne 42 à la cité policière pendant le déchargement de pétrole brut d’un navire vers la Sir. Puis, il y a eu un départ de feu occasionné par des travaux à chaud de soudure de chaudronnerie à proximité de la zone de fuite.
Cet incendie a créé une grande panique au sein des occupants du site et des riverains. Dans la débandade, trois d’entre eux tombent et restent au sol. A la suite de cet incident, le Plan de surveillance et d’intervention est déclenché. L’objectif visé est de tester le dispositif et corriger les écarts pour parer à toute éventualité.
Les équipes de secours internes appuyées par la gendarmerie nationale, le Groupement des sapeurs-pompiers militaires (Gspm), le Ciapol, le Samu, la Police, etc., ont pu, en 45 minutes, venir à bout du sinistre. Il s’agit d’extinction du feu, de la protection des maisons environnantes, de l’évacuation des victimes pour une prise en charge médicale.
Selon le directeur général de la Sir, Jean-Luc Gouzien, le but de cet exercice est de s’assurer que les équipes fonctionnent au mieux. Il s’agit de mettre en place des plans d’actions après chaque exercice pour prendre en compte les améliorations. Il a par ailleurs déploré, du fait de l’urbanisation, la proximité des habitations, des bureaux de certaines usines.
Jean-Luc Gouzien a insisté sur l’importance de cet exercice, notamment pour la population. Car, dit-il, il faut qu’elles connaissent le risque auquel elles sont exposées et aient des réflexes en cas de sinistres pour la préservation de leur vie. « C’est important d’avoir cet aspect pédagogique », a-t-il déclaré.
Le représentant de la Sir a félicité les différents acteurs de cet exercice avant de souligner que les différentes observations des parties prenantes seront prises en compte pour l’amélioration du plan.
Cet incendie a créé une grande panique au sein des occupants du site et des riverains. Dans la débandade, trois d’entre eux tombent et restent au sol. A la suite de cet incident, le Plan de surveillance et d’intervention est déclenché. L’objectif visé est de tester le dispositif et corriger les écarts pour parer à toute éventualité.
Les équipes de secours internes appuyées par la gendarmerie nationale, le Groupement des sapeurs-pompiers militaires (Gspm), le Ciapol, le Samu, la Police, etc., ont pu, en 45 minutes, venir à bout du sinistre. Il s’agit d’extinction du feu, de la protection des maisons environnantes, de l’évacuation des victimes pour une prise en charge médicale.
Selon le directeur général de la Sir, Jean-Luc Gouzien, le but de cet exercice est de s’assurer que les équipes fonctionnent au mieux. Il s’agit de mettre en place des plans d’actions après chaque exercice pour prendre en compte les améliorations. Il a par ailleurs déploré, du fait de l’urbanisation, la proximité des habitations, des bureaux de certaines usines.
Jean-Luc Gouzien a insisté sur l’importance de cet exercice, notamment pour la population. Car, dit-il, il faut qu’elles connaissent le risque auquel elles sont exposées et aient des réflexes en cas de sinistres pour la préservation de leur vie. « C’est important d’avoir cet aspect pédagogique », a-t-il déclaré.
Le représentant de la Sir a félicité les différents acteurs de cet exercice avant de souligner que les différentes observations des parties prenantes seront prises en compte pour l’amélioration du plan.