Le Président azerbaïdjanais, Iliam Aliev
Caucase : Bakou met Paris en garde…
Le président azerbaïdjanais, Ilham Aliev, a accusé la France de « préparer le terrain pour une nouvelle guerre » dans le Caucase en « armant » l'Arménie, dont elle est un soutien historique, selon un communiqué publié ce mardi 21 novembre, et repris par l’Agence France presse (Afp).
Cette tension entre Bakou et Paris relativement à un armement de l’Arménie par la France couve depuis la reconquête éclair en septembre du Haut-Karabakh par l'Azerbaïdjan. Puisque sur les réseaux sociaux, nombreux sont les internautes qui ont expliqué le refus de l’Azerbaïdjan de permettre une action humanitaire notamment française dans l’ancienne province rebelle par des risques de ravitaillement en armes des insurgés.
Il s’en était suivi un épisode diplomatique tendu entre les deux pays notamment aux Nations unies. Paris a tenté de faire pencher la communauté internationale en faveur d’une solution qui aurait permis aux Arméniens du Haut-Karabakh de demeurer dans la zone tout en conservant une forte autonomie. De son côté, Bakou a dénoncé « des contrevérités et une tentative de falsification des faits sur le terrain ».
Soutenue notamment par la Turquie, l’Azerbaïdjan est constamment sous pression occidentale, à l’effet d’empêcher une extension du conflit en-dehors du Haut-Karabakh. Parce que cela conduirait à de nouveaux affrontements entre Bakou et Erevan avec un impact direct sur le territoire arménien. . « 16 novembre, le secrétaire d’État américain Antony Blinken a eu une conversation téléphonique avec le président de l’Azerbaïdjan, Ilham Aliev. Information placée sur le site Web du département d’État américain. Selon le rapport, le sujet de la conversation était les questions liées aux négociations de paix bilatérales arméno-azéries. Le secrétaire d’État américain a appelé le président Ilham Aliev à maintenir le cessez-le-feu et à ne pas autoriser les provocations à la frontière », pouvait-on lire sur le site d’Armenpress
Il s’en était suivi un épisode diplomatique tendu entre les deux pays notamment aux Nations unies. Paris a tenté de faire pencher la communauté internationale en faveur d’une solution qui aurait permis aux Arméniens du Haut-Karabakh de demeurer dans la zone tout en conservant une forte autonomie. De son côté, Bakou a dénoncé « des contrevérités et une tentative de falsification des faits sur le terrain ».
Soutenue notamment par la Turquie, l’Azerbaïdjan est constamment sous pression occidentale, à l’effet d’empêcher une extension du conflit en-dehors du Haut-Karabakh. Parce que cela conduirait à de nouveaux affrontements entre Bakou et Erevan avec un impact direct sur le territoire arménien. . « 16 novembre, le secrétaire d’État américain Antony Blinken a eu une conversation téléphonique avec le président de l’Azerbaïdjan, Ilham Aliev. Information placée sur le site Web du département d’État américain. Selon le rapport, le sujet de la conversation était les questions liées aux négociations de paix bilatérales arméno-azéries. Le secrétaire d’État américain a appelé le président Ilham Aliev à maintenir le cessez-le-feu et à ne pas autoriser les provocations à la frontière », pouvait-on lire sur le site d’Armenpress