L'équipe de Gasset a fière allure à l'approche de la compétition
Éléphants : Le commando est prêt
Plus la Can approche, plus les Éléphants de Côte d’Ivoire se déchaînent, cassent tout sur leur passage et font plaisir. Depuis les deux matchs amicaux contre le Maroc et l’Afrique du Sud, cette équipe commence à faire rêver. En effet, le bilan que présente l’équipe est flatteur. On retient que sur les deux derniers matchs officiels, le sélectionneur national a utilisé 18 joueurs, sur les 23 appelés. Badra Sangaré et Ayayi Folly, les 2 gardiens adjoints, n’ont pas joué. Des joueurs de champs comme Max Gradel, Ousmane Diomandé, de façon stratégique, n’ont pas foulé la pelouse. Et le bilan montre que les Éléphants ont inscrit 11 buts, avec 8 buteurs différents. Les 5 attaquants que sont Haller, Krasso, Konaté, Adingra et Kouamé ont été de la fête. Mieux des milieux de terrain se sont invités au feu d’artifice. Le bijou de Séko Fofana au stade national Benjamin Mkapa de Dar es Salam, lundi, défile encore sur nos yeux. Quel but !
Ce que beaucoup ne savent pas, c'est que cette équipe de Côte d’Ivoire qui a brillamment enchaîné face à la Gambie, lors de la 2e journée des qualifications pour la Coupe du monde 2026, était quasiment décimée. C’est la mort dans l’âme que Jean-Louis Gasset s’est envolé pour la Tanzanie. Laissant Jonathan Bamba à l’infirmerie, à Abidjan. Mais en plus de la fatigue liée au long voyage (6 000 Km pour rallier Dar es Salam), l’équipe est arrivée un peu décimée. Des problèmes de santé, notamment avec un Ibrahim Sangaré, grippé, Wilfried Singo, touché à un orteil, Sébastien Haller (arcade sourcilière), etc.
Obligeant le coach à revoir son dispositif face aux Scorpions dont tout le monde vendait cher la peau. La Gambie de Tom Saintfiet est, en effet, l’une des forces émergentes du continent, en matière de football. En plus, les Scorpions, battus par le Burundi (3-2), étaient dos au mur, lors de cette 2e journée des éliminatoires. Ils avaient promis l’enfer aux Éléphants. Mais à l’arrivée, les Scorpions ont tremblé et perdu leur venin (0-2). « Il faut l’avouer, nous avions en face une équipe ivoirienne très forte qui prépare sa Can. À la veille de la Can, les Éléphants sont sans état d’âme. C’est lorsque nous avions décidé d’attaquer que Séko Fofana nous a coupé l’herbe sous le pied », avouait Tom Saintfiet, le sélectionneur des Scorpions qui avait postulé pour entraîner cette équipe des Éléphants. Il voulait montrer qu’Idriss Diallo, le président de la Fif a eu tort de préférer Gasset à lui.
En revanche, Gasset a encore puisé dans la profondeur de son réservoir, afin de démontrer l’interchangeabilité de son effectif. De son 3-5-2 face aux Seychelles, le sélectionneur est revenu, pour cette rencontre, à son 4-3-3 classique avec des changements dans son onze de départ. Hassane Kamara, le défenseur d’Udinese (Série A italienne), absent depuis quelques mois, a été positionné dans le couloir gauche de la défense. Au milieu, Traoré Hamed Junior a remplacé Sangaré Ibrahim. En attaque, Simon Adingra et Oumar Diakité se sont vu confier les couloirs, tandis que Christian Kouamé était utilisé comme pivot.
Si les Gambiens n’avaient pas décidé de jouer derrière, il y aurait encore eu un déluge de feu à Dar es Salam. « Nous sommes un groupe qui monte en puissance. Le groupe vit bien. Tout le monde a envie de jouer et de gagner cette compétition à domicile. C’est le rêve de tout footballeur de haut niveau », prévient Christian Kouamé, auteur du premier but, lundi, contre la Gambie.
Obligeant le coach à revoir son dispositif face aux Scorpions dont tout le monde vendait cher la peau. La Gambie de Tom Saintfiet est, en effet, l’une des forces émergentes du continent, en matière de football. En plus, les Scorpions, battus par le Burundi (3-2), étaient dos au mur, lors de cette 2e journée des éliminatoires. Ils avaient promis l’enfer aux Éléphants. Mais à l’arrivée, les Scorpions ont tremblé et perdu leur venin (0-2). « Il faut l’avouer, nous avions en face une équipe ivoirienne très forte qui prépare sa Can. À la veille de la Can, les Éléphants sont sans état d’âme. C’est lorsque nous avions décidé d’attaquer que Séko Fofana nous a coupé l’herbe sous le pied », avouait Tom Saintfiet, le sélectionneur des Scorpions qui avait postulé pour entraîner cette équipe des Éléphants. Il voulait montrer qu’Idriss Diallo, le président de la Fif a eu tort de préférer Gasset à lui.
En revanche, Gasset a encore puisé dans la profondeur de son réservoir, afin de démontrer l’interchangeabilité de son effectif. De son 3-5-2 face aux Seychelles, le sélectionneur est revenu, pour cette rencontre, à son 4-3-3 classique avec des changements dans son onze de départ. Hassane Kamara, le défenseur d’Udinese (Série A italienne), absent depuis quelques mois, a été positionné dans le couloir gauche de la défense. Au milieu, Traoré Hamed Junior a remplacé Sangaré Ibrahim. En attaque, Simon Adingra et Oumar Diakité se sont vu confier les couloirs, tandis que Christian Kouamé était utilisé comme pivot.
Si les Gambiens n’avaient pas décidé de jouer derrière, il y aurait encore eu un déluge de feu à Dar es Salam. « Nous sommes un groupe qui monte en puissance. Le groupe vit bien. Tout le monde a envie de jouer et de gagner cette compétition à domicile. C’est le rêve de tout footballeur de haut niveau », prévient Christian Kouamé, auteur du premier but, lundi, contre la Gambie.