Lutte contre les cancers de la femme : « Il faut organiser la communication et la prise en charge pour un résultat optimal», préconise Prof Diomandé Mohenou

Prof Diomandé Mohenou (2e à partir de la droite appelle à une communication sur les cancers de la femme (Bavane)
Prof Diomandé Mohenou (2e à partir de la droite appelle à une communication sur les cancers de la femme (Bavane)
Prof Diomandé Mohenou (2e à partir de la droite appelle à une communication sur les cancers de la femme (Bavane)

Lutte contre les cancers de la femme : « Il faut organiser la communication et la prise en charge pour un résultat optimal», préconise Prof Diomandé Mohenou

Le 25/10/23 à 07:21
modifié 25/10/23 à 07:21
Prof Diomandé Mohenou Jean-Marie a présidé la journée scientifique organisée par Hope Life à l’occasion de la célébration des 10 ans d’existence de l’Ong, le mardi 24 octobre 2023, dans l’amphithéâtre de spécialités de l’Infas à Treichville.

Dans son discours d’ouverture, Prof Diomandé Mohenou s’appuyant sur la thématique « Parcours du patient atteint du cancer », a soutenu que le parcours du patient demeure une problématique et souffre d’un manque d’information ayant pour conséquence le plus souvent d’un dégât au niveau du diagnostic. Donc, un traitement retardé pour un meilleur traitement au pronostique des patients. Et le manque d’information sur les démarches à faire pour les cancers de la femme ainsi que le manque de moyens financier sont des problématiques à résoudre.

« Il est donc important d’organiser la communication, l’information et la prise en charge pour aboutir à un résultat optimal pour les malades », propose-t-il.

A l’en croire, il s’agit ici d’une vision holistique transcendant les disciplines et les chapelles de toutes sortes et de mobiliser toutes les couches de la société pour participer à la lutte contre ce fléau.

« Le programme scientifique de ce jour qui embrasse tous les domaines de lutte autant de la prévention au diagnostic plus ouvertement tant moderne et traditionnel, inclus aussi les soins de support », a ajouté le professeur.

Il pense qu’a ce parcours classique, il faudrait mettre en exergue la nécessité d’organiser la recherche nationale sur le cancer du sein en créant des groupes multi et transdisciplinaire qui permettront de générer des données spécifiques aux populations.



Le 25/10/23 à 07:21
modifié 25/10/23 à 07:21