Sommet mondial pour la paix : « Nous devons laisser la paix en héritage à nos descendants », exhorte M. Lee Man-Hee
C’est le lieu de rappeler que l’Ong a proposé en 2016 un outil juridique appelé déclaration pour la paix et la cessation des guerres. Le but de cet outil était de renforcer le droit international actuel et parvenir à une loi pour la paix. Cet instrument bénéficie de 900 000 soutiens de la société civile dans 176 pays ainsi que du Parlement centraméricain, a rapporté Kang Tae-ho, directeur général de Hwpl.

Placé sur le thème de la "Mise en œuvre d'une stratégie multidimensionnelle pour une paix institutionnelle", cet événement a rassemblé plus de 1 800 personnes de 121 pays. Parmi lesquels des dirigeants et des experts dans les domaines du droit international, de la religion, de l'éducation, de la jeunesse, des femmes et des médias.
Pendant ces quatre jours, ils ont participé à une trentaine de sessions et se sont engagés sur des stratégies pratiques et viables pour établir un droit international juridiquement contraignant pour la paix.
A noter qu’une délégation ivoirienne composés du directeur général de la réconciliation, M. Touhou Théophile (représentant du Ministre de la réconciliation et de la cohésion nationale), M. Kramo Kouassi (maire de la commune de Bocanda), des leaders de la jeunesse, des femmes et des leaders religieux a pris part à cette rencontre.