Les participants à l'atelier (Photo Bavane)
Changement climatique: Des membres des bureaux nationaux d’Inades-Formation d’Afrique subsaharienne renforcent leurs capacités à Abidjan
Ils sont plus d’une vingtaine de membres de bureaux nationaux d’Inades-Formation de l’Afrique de l’Ouest, de l’Est et Centrale réunis à l’hôtel M’Maya sis à la Riviera 2 à Abidjan, du 25 au 29 septembre. Ce, pour renforcer leurs capacités sur les outils d’analyse des risques et vulnérabilités climatiques, d’élaboration de plans et stratégie climat, et d’accès aux fonds climatiques.
Le séminaire qui les réunit a été ouvert ce lundi 25 septembre 2023, à la salle de conférence dudit hôtel. Son objectif est d’approfondir la connaissance des participants sur les approches d’analyse des vulnérabilités des communautés et des risques climatiques, a laissé entendre Sena Adessou, secrétaire général d’Inades-Formation Abidjan.
Cette analyse de vulnérabilités, à l’en croire, est nécessaire pour apporter des réponses adéquates à ces risques et pour mobiliser les fonds climatiques, et permettre de développer des actions sur le terrain.
Aussi a-t-il souligné que l’Afrique subsaharienne est l’une des régions les plus vulnérables au changement climatique avec une forte probabilité que le réchauffement climatique dépasse l’objectif de la Cop21 de maintenir la hausse de la température moyenne mondiale à moins de 2°C d’ici la fin du siècle (Giec, 2014).
Ce changement climatique a déjà produit plus d’une dizaine de millions de réfugiés écologiques, environnementaux et climatiques.
Un rapport de la Banque mondiale indique que d’ici à 2050 approximativement 2,8% de la population des pays en développement (dont l’Afrique subsaharienne) pourraient être contraintes de se déplacer pour échapper aux effets du changement climatique.
Face à cette situation, certaines communautés essaient de développer des mécanismes de résilience au niveau local et à l’échelle des territoires.
D’où l’importance de ce séminaire qui va permettre donc aux participants de maîtriser les outils d’analyse des risques et vulnérabilités climatiques, et les modalités d’accès aux fonds climat en vue de les mettre à profit dans leurs stratégies d’intervention et dans leur recherche de financement.
Cette analyse de vulnérabilités, à l’en croire, est nécessaire pour apporter des réponses adéquates à ces risques et pour mobiliser les fonds climatiques, et permettre de développer des actions sur le terrain.
Aussi a-t-il souligné que l’Afrique subsaharienne est l’une des régions les plus vulnérables au changement climatique avec une forte probabilité que le réchauffement climatique dépasse l’objectif de la Cop21 de maintenir la hausse de la température moyenne mondiale à moins de 2°C d’ici la fin du siècle (Giec, 2014).
Ce changement climatique a déjà produit plus d’une dizaine de millions de réfugiés écologiques, environnementaux et climatiques.
Un rapport de la Banque mondiale indique que d’ici à 2050 approximativement 2,8% de la population des pays en développement (dont l’Afrique subsaharienne) pourraient être contraintes de se déplacer pour échapper aux effets du changement climatique.
Face à cette situation, certaines communautés essaient de développer des mécanismes de résilience au niveau local et à l’échelle des territoires.
D’où l’importance de ce séminaire qui va permettre donc aux participants de maîtriser les outils d’analyse des risques et vulnérabilités climatiques, et les modalités d’accès aux fonds climat en vue de les mettre à profit dans leurs stratégies d’intervention et dans leur recherche de financement.