Abel Yéo président du comité d'organisation de de l'international poomsae challenge d'Abidjan. (Dr)
Abel Yéo président du comité d'organisation de de l'international poomsae challenge d'Abidjan. (Dr)
Abidjan international Poomsae challenge de Taekwondo : Une grande démonstration attendue au Cscticao
La deuxième édition de l’Abidjan international poomsae challenge (Aipc) aura lieu, le 28 octobre, au centre sportif, culturel et des Tic ivoiro-coréen Alassane Ouattara (Cscticao).
Depuis l’annonce de l’événement sportif, le 20 septembre dernier, les amateurs du taekwondo se bousculent. Particulièrement, ceux qui sont férus de techniques pures. Si tout se passe comme prévu, ils viendront de plusieurs pays du continent comme le Burkina Faso, le Ghana, le Niger, le Congo, mais aussi de l’Europe comme la France.
« Le poomsae, pour moi, est primordial. C’est un combat purement technique qui s’exécute individuellement, avec des codes, des enchaînements de coups de pied et de poing contre des adversaires imaginaires dans plusieurs directions. Il s’agit d’une succession de techniques à connaître et à être capable de réaliser avec force et détermination et cela, on peut le faire à tous les âges. Contrairement au combat (Kyorugi) tel qu’on a l’habitude de voir. C’est l’essence même de la discipline, malheureusement elle est peu connue », explique Me Yéo, qui a décidé, avec sa structure, d’ouvrir cette lucarne uniquement sur le poomsae.
Pour cette deuxième édition, les organisateurs ont décidé de calquer sur le format du championnat du monde, dans les catégories reconnues telles que le style libre.
Des épreuves qui se dérouleront en individuel, en paire et en équipe. Entre autres innovations, il y aura un volet social. « Cette année, nous voulons offrir une expérience encore plus mémorable aux participants et aux spectateurs», a précisé Me Achille Yéo, président du comité d’organisation (Pco).
Son objectif, ne cesse-t-il de le répéter, est de «faire de la Côte d’Ivoire la référence en matière de poomsae ».
L’objectif de l’Aipc, selon lui, est de faire la promotion de la pratique du sport en général et du taekwondo en particulier. Créer un cadre d’expression pour les taekwondo-in sans distinction d’âge, de genre et de situation sociale et favoriser la détection de nouveaux talents dans la discipline Poomsae, en vue d’offrir à la Côte d’Ivoire un vivier d’athlètes capables de défendre ses couleurs sur le plan international.
La première édition (2022, reportée à janvier 2023) a connu un véritable succès. Toute la journée, on a vu des athlètes de 10 à 50 ans rivaliser sur le tapis du Cscticao. « Ils étaient au nombre de 150. Cette fois-ci, nous attendons au moins le double », prévient le Pco.
« Le poomsae, pour moi, est primordial. C’est un combat purement technique qui s’exécute individuellement, avec des codes, des enchaînements de coups de pied et de poing contre des adversaires imaginaires dans plusieurs directions. Il s’agit d’une succession de techniques à connaître et à être capable de réaliser avec force et détermination et cela, on peut le faire à tous les âges. Contrairement au combat (Kyorugi) tel qu’on a l’habitude de voir. C’est l’essence même de la discipline, malheureusement elle est peu connue », explique Me Yéo, qui a décidé, avec sa structure, d’ouvrir cette lucarne uniquement sur le poomsae.
Pour cette deuxième édition, les organisateurs ont décidé de calquer sur le format du championnat du monde, dans les catégories reconnues telles que le style libre.
Des épreuves qui se dérouleront en individuel, en paire et en équipe. Entre autres innovations, il y aura un volet social. « Cette année, nous voulons offrir une expérience encore plus mémorable aux participants et aux spectateurs», a précisé Me Achille Yéo, président du comité d’organisation (Pco).
Son objectif, ne cesse-t-il de le répéter, est de «faire de la Côte d’Ivoire la référence en matière de poomsae ».
L’objectif de l’Aipc, selon lui, est de faire la promotion de la pratique du sport en général et du taekwondo en particulier. Créer un cadre d’expression pour les taekwondo-in sans distinction d’âge, de genre et de situation sociale et favoriser la détection de nouveaux talents dans la discipline Poomsae, en vue d’offrir à la Côte d’Ivoire un vivier d’athlètes capables de défendre ses couleurs sur le plan international.
La première édition (2022, reportée à janvier 2023) a connu un véritable succès. Toute la journée, on a vu des athlètes de 10 à 50 ans rivaliser sur le tapis du Cscticao. « Ils étaient au nombre de 150. Cette fois-ci, nous attendons au moins le double », prévient le Pco.