La ministre de l'Éducation nationale et de l'Alphabétisation, Mariatou Koné, a participé à une rencontre de haut niveau à New-York. (Ph: Dr)
La ministre de l'Éducation nationale et de l'Alphabétisation, Mariatou Koné, a participé à une rencontre de haut niveau à New-York. (Ph: Dr)
Éducation nationale : Mariatou Koné présente les avancées de la Côte d’Ivoire à New York
La ministre de l’Éducation nationale et de l'Alphabétisation, Mariatou Koné, a égrené toutes les réformes entreprises relativement aux Objectifs pour le développement durable en son point 4 (Odd4) lié à l'éducation, rapporte dans une note son service de communication.
C’était le 17 septembre, en marge de l’Assemblée générale de l’Organisation des nations unies (Onu) à New York.
En effet, elle a présenté les acquis des États généraux de l'Éducation nationale et de l'Alphabétisation (Egena), notamment l'axe1 sur les 4 axes prioritaires.
Mariatou Koné a indiqué dans ledit axe qu’il faut activer 42 leviers afin de transformer le système éducatif ivoirien. « Un an après la validation des conclusions des Egena, où en sommes-nous en Côte d'Ivoire ? », s’est-elle interrogée.
Et de répondre : « Nous avons une feuille de route, une boussole pour une enveloppe globale de 1,4 million de dollars Us. Sur les 4 axes essentiels, la priorité de l'axe 1 qui se dégage des Egena est l'amélioration de l'apprentissage fondamental. Cette primauté conditionne les 3 autres : la réforme de la profession enseignante, l'encadrement de l'éducation non formelle et le développement numérique ».
Concernant l'apprentissage fondamental, elle a fait savoir que face à la crise des apprentissages en lecture et en mathématiques dans l'enseignement primaire, la Côte d'Ivoire a engagé une série de réformes, entre autres l'amélioration des programmes et du processus enseignement et des apprentissages.
À ce titre, le gouvernement s'est engagé à réviser les programmes éducatifs et des manuels scolaires subséquents.
La première responsable de l’Éducation nationale et de l’Alphabétisation a évoqué également le retour de la méthode syllabique et de la dictée classique, l'augmentation du quantum horaire qui est passé de 1 125 heures à 1 280 heures par an. Sans oublier l'adoption d'un nouveau régime pédagogique qui accorde 90 % du temps aux disciplines fondamentales, à savoir 50% pour le français et 40% pour les mathématiques et les sciences. Ainsi que l'investissement dans l'alimentation scolaire en milieu rural.
Pareillement, la Côte d'Ivoire, a-t-elle précisé, travaille au renforcement de la qualité du déploiement des ressources humaines sur l’ensemble du territoire.
« Cela est soutenu par le recrutement régulier et exceptionnel des élèves maîtres dans les Centres d’animation et de formation pédagogique (Cafop) qui ont été dotés de nouveaux référentiels de compétences », a affirmé la ministre.
En effet, elle a présenté les acquis des États généraux de l'Éducation nationale et de l'Alphabétisation (Egena), notamment l'axe1 sur les 4 axes prioritaires.
Mariatou Koné a indiqué dans ledit axe qu’il faut activer 42 leviers afin de transformer le système éducatif ivoirien. « Un an après la validation des conclusions des Egena, où en sommes-nous en Côte d'Ivoire ? », s’est-elle interrogée.
Et de répondre : « Nous avons une feuille de route, une boussole pour une enveloppe globale de 1,4 million de dollars Us. Sur les 4 axes essentiels, la priorité de l'axe 1 qui se dégage des Egena est l'amélioration de l'apprentissage fondamental. Cette primauté conditionne les 3 autres : la réforme de la profession enseignante, l'encadrement de l'éducation non formelle et le développement numérique ».
Concernant l'apprentissage fondamental, elle a fait savoir que face à la crise des apprentissages en lecture et en mathématiques dans l'enseignement primaire, la Côte d'Ivoire a engagé une série de réformes, entre autres l'amélioration des programmes et du processus enseignement et des apprentissages.
À ce titre, le gouvernement s'est engagé à réviser les programmes éducatifs et des manuels scolaires subséquents.
La première responsable de l’Éducation nationale et de l’Alphabétisation a évoqué également le retour de la méthode syllabique et de la dictée classique, l'augmentation du quantum horaire qui est passé de 1 125 heures à 1 280 heures par an. Sans oublier l'adoption d'un nouveau régime pédagogique qui accorde 90 % du temps aux disciplines fondamentales, à savoir 50% pour le français et 40% pour les mathématiques et les sciences. Ainsi que l'investissement dans l'alimentation scolaire en milieu rural.
Pareillement, la Côte d'Ivoire, a-t-elle précisé, travaille au renforcement de la qualité du déploiement des ressources humaines sur l’ensemble du territoire.
« Cela est soutenu par le recrutement régulier et exceptionnel des élèves maîtres dans les Centres d’animation et de formation pédagogique (Cafop) qui ont été dotés de nouveaux référentiels de compétences », a affirmé la ministre.