Dr Etté
Lutte contre les maladies non transmissibles : Dr Jean Etté déroule la vision du Pass pour le système de santé
Un atelier a réuni les experts du Programme national de lutte contre les maladies métaboliques (Pnlmm) à Jacqueville. C’était en présence du Dr Adoueni Katché Valery, directeur-coordonnateur du Pnlmm. Et ce, pour riposter à une possible nouvelle vague épidémique dénommé « Eris », du Sars-CoV-2.
L’objectif de cette rencontre était d’élaborer des messages destinés aux groupes « cibles » du Pnlmm, notamment les hypertendus et les diabétiques. Il s’agit de disposer d’un plan de communication multidimensionnelle efficace et soutenable susceptible de contribuer à élargir la couverture vaccinale au plus grand nombre souffrant de maladies chroniques, ainsi que leurs familles.
Cela vise également à permettre une réappropriation des gestes et mesures barrières, et enfin préparer le personnel médical et paramédical à tous les niveaux en vue d’accroître leurs interventions pour une prise en charge adéquate des patients concernés.
La collaboration intra sectorielle et le leadership de la Direction de la santé communautaire
Se prononçant sur le : « Renforcement de l’implication communautaire dans la lutte contre la maladie non transmissible (Ricom-Mnt) », Dr Jean Etté, directeur de la Santé publique et développement durable du Programme d’appui aux stratégies sociales (Pass), a souligné l’apport des activités innovantes en matière de prise en charge des Mnt.
Selon lui, il existe au sein du ministère en charge de la Santé des programmes et structures techniques dont les domaines d’intervention sont en relation avec la gestion des maladies chroniques non transmissibles.
La Direction de la santé communautaire (Dsc) est au premier rang de ces entités. C’est à elle que revient l’immense tâche d’élaborer une politique nationale de santé communautaire cohérente et efficace.
Or, la cohérence de l’activité de santé communautaire en Côte d’Ivoire est mise à mal par la multiplicité d’acteurs (programmes nationaux, partenaires techniques et financiers, agences d’exécution, communautés) et de programmes menés au niveau communautaire sans coordination et harmonisation ; la fragmentation des profils communautaires du fait de la multiplicité des fonctions (Asc, relais) organisés autour d’une multitude de structures (aires de santé, organisations communautaires de base).
La coordination intersectorielle et le leadership du Pnlmm
Il est impérieux que le Pnlmm renforce son leadership pour obtenir une coopération continue et productive avec les ministères et structures techniques. Et ce, en dehors du secteur de la santé, dont l’implication est indispensable dans le cadre de l’action intersectorielle.
Selon Dr Etté, le projet pilote soutenu par Novartis dont la Fondation œuvre dans le but, notamment de faciliter l’émergence et le renforcement de la communauté en tant qu’acteur des politiques nationales de santé, les innovations que se proposent de mettre en œuvre le Ricom-Mnt, contribueront à promouvoir le leadership du Pnlmm, la Dsc et à renforcer la cohérence, l’harmonisation, et la synergie des interventions communautaires.
Cela vise également à permettre une réappropriation des gestes et mesures barrières, et enfin préparer le personnel médical et paramédical à tous les niveaux en vue d’accroître leurs interventions pour une prise en charge adéquate des patients concernés.
La collaboration intra sectorielle et le leadership de la Direction de la santé communautaire
Se prononçant sur le : « Renforcement de l’implication communautaire dans la lutte contre la maladie non transmissible (Ricom-Mnt) », Dr Jean Etté, directeur de la Santé publique et développement durable du Programme d’appui aux stratégies sociales (Pass), a souligné l’apport des activités innovantes en matière de prise en charge des Mnt.
Selon lui, il existe au sein du ministère en charge de la Santé des programmes et structures techniques dont les domaines d’intervention sont en relation avec la gestion des maladies chroniques non transmissibles.
La Direction de la santé communautaire (Dsc) est au premier rang de ces entités. C’est à elle que revient l’immense tâche d’élaborer une politique nationale de santé communautaire cohérente et efficace.
Or, la cohérence de l’activité de santé communautaire en Côte d’Ivoire est mise à mal par la multiplicité d’acteurs (programmes nationaux, partenaires techniques et financiers, agences d’exécution, communautés) et de programmes menés au niveau communautaire sans coordination et harmonisation ; la fragmentation des profils communautaires du fait de la multiplicité des fonctions (Asc, relais) organisés autour d’une multitude de structures (aires de santé, organisations communautaires de base).
La coordination intersectorielle et le leadership du Pnlmm
Il est impérieux que le Pnlmm renforce son leadership pour obtenir une coopération continue et productive avec les ministères et structures techniques. Et ce, en dehors du secteur de la santé, dont l’implication est indispensable dans le cadre de l’action intersectorielle.
Selon Dr Etté, le projet pilote soutenu par Novartis dont la Fondation œuvre dans le but, notamment de faciliter l’émergence et le renforcement de la communauté en tant qu’acteur des politiques nationales de santé, les innovations que se proposent de mettre en œuvre le Ricom-Mnt, contribueront à promouvoir le leadership du Pnlmm, la Dsc et à renforcer la cohérence, l’harmonisation, et la synergie des interventions communautaires.