Bingerville et ses embouteillages : Dur, dur de traverser la ville les week-ends

Difficile de se frayer un chemin (Photo Bavane)
Difficile de se frayer un chemin (Photo Bavane)
Difficile de se frayer un chemin (Photo Bavane)

Bingerville et ses embouteillages : Dur, dur de traverser la ville les week-ends

Le 09/09/23 à 15:20
modifié 09/09/23 à 15:20
Les week-ends à Bingerville, surtout le samedi, c’est un véritable calvaire la traversée de la ville. Du lycée de Garçons au feu du super marché Bon prix, ce sont des fils de véhicules.

Une affluence de véhicules qui encombrent, obstruent la grande voie de deux fois deux voies. L’avenue est saturée à tel point qu’il y a encombrement de véhicules dans les deux sens.

Du coup, le trajet de 3km parcouru habituellement en 1 minute, l’usager peut y passer pratiquement plus d’une demi-heure.

De nombreux véhicules (Photo Bavane)
De nombreux véhicules (Photo Bavane)



Dans ce désordre installé, se mêlent klaxons et vrombissements de moteurs. Difficile souvent pour les piétons de se frayer un chemin. Sans oublier les motocyclistes.

Bienvenue aux cris de colère, aux cris de « Laisse-moi passer. J’ai la priorité. Non. Toi, recule. Regardez-moi ce type-là. C'est quelle manière de prendre le sens inverse ».

Pour la cause de cette affluence les weekends, à en croire l’entrepreneur, Koffi Narcisse, il s’agit des personnes qui possèdent des réalisations dans la commune. « Toutes ces grosses cylindrés que vous voyez les week-ends appartiennent à ces personnes qui possèdent des biens dans la cité. Certains sont des opérations immobilières des chantiers. D’autres, viennent controler certaines de leurs affaires. Et, y en a ceux qui viennent dans leurs villages rendre visite à la famille », a-t-il expliqué.



Le 09/09/23 à 15:20
modifié 09/09/23 à 15:20