Leçons des élections municipales : Les sans étiquette perdent des plumes. (Ph:DR)
Leçons des élections municipales : Les sans étiquette perdent des plumes
C’était l’équation la plus difficile pour les partis politiques. Il ne faut pas se le cacher, les sans étiquette ne sont pas, pour la plupart, sans pied à terre. Ils appartiennent à des formations politiques.
Mais pour diverses raisons, n’ayant pas été choisis par leurs responsables, ils décident d’aller aux élections.
Tous les partis ont leurs sans étiquette, appelés abusivement les indépendants. Pour ces élections, ils ont perdu quelques plumes.
Aux municipales, cette année, ils ont obtenu 41 communes contre 56 en 2018. 15 communes leur ont échappé. Aux régionales, c’est une région qui est tombée dans leur besace.
En 2018, ils en avaient gagné 3. Mais en règle générale, ils ne restent pas longtemps sans étiquette.
Nous attendons l’ouverture du ‘’mercato post-électoral’’ pour voir vers qui ils pencheront.
E. ABOUA
Tous les partis ont leurs sans étiquette, appelés abusivement les indépendants. Pour ces élections, ils ont perdu quelques plumes.
Aux municipales, cette année, ils ont obtenu 41 communes contre 56 en 2018. 15 communes leur ont échappé. Aux régionales, c’est une région qui est tombée dans leur besace.
En 2018, ils en avaient gagné 3. Mais en règle générale, ils ne restent pas longtemps sans étiquette.
Nous attendons l’ouverture du ‘’mercato post-électoral’’ pour voir vers qui ils pencheront.
E. ABOUA