Ange Aoussou (au centre), promotrice du festival. (Ph: Dr)
Festival Un Pas Vers l’Avant : Des femmes artistes en retraite à Lauzoua
La 11e édition du festival international de danse et formation Un Pas Vers l’Avant s’ouvre, ce mercredi 6 septembre, à Lauzoua (région de Grand Lahou).
La promotrice Ange Aoussou et son équipe accueillent encore cette année une pléiade de danseurs, interprètes et chorégraphes venus des quatre coins du monde : Bénin, Mali, Burkina Faso, Congo Brazzaville, RDC, Guinée, Nigeria, Sénégal, Allemagne, France, Chili, USA, etc. Au menu, les activités traditionnelles du festival, à savoir les outillages chorégraphiques, les échanges culturels et des animations diverses.
Mais la grande innovation, cette année, est le projet de méditation culturelle baptisé « Femmes Akondi » qui se greffe aux activités. Il se destine aux femmes artistes (chorégraphes, metteur en scène, cinéaste). Étalé sur 3 années, ce rendez-vous se veut une lucarne d’échanges et de transmission entre femmes artistes.
Julie Dossavi est l’une des chorégraphes invitées à cette édition du festival Un pas vers l’avant. Pour la franco-béninoise, c’est un voyage de découverte de la Côte d’Ivoire.
« J’ai fait plusieurs pays d’Afrique, et c’est la première fois que je viens en Côte-d’Ivoire. Je veux transmettre ma danse, échanger avec les jeunes artistes, leur apprendre une certaine technique, une rigueur, leur donner des outils d’apprentissage », explique la chorégraphe.
Le séjour de Lauzoua court jusqu’au au 14 septembre. Le retour sera marqué par des spectacles à Abobo et à Cocody dans le cadre du festival.
Mais la grande innovation, cette année, est le projet de méditation culturelle baptisé « Femmes Akondi » qui se greffe aux activités. Il se destine aux femmes artistes (chorégraphes, metteur en scène, cinéaste). Étalé sur 3 années, ce rendez-vous se veut une lucarne d’échanges et de transmission entre femmes artistes.
Julie Dossavi est l’une des chorégraphes invitées à cette édition du festival Un pas vers l’avant. Pour la franco-béninoise, c’est un voyage de découverte de la Côte d’Ivoire.
« J’ai fait plusieurs pays d’Afrique, et c’est la première fois que je viens en Côte-d’Ivoire. Je veux transmettre ma danse, échanger avec les jeunes artistes, leur apprendre une certaine technique, une rigueur, leur donner des outils d’apprentissage », explique la chorégraphe.
Le séjour de Lauzoua court jusqu’au au 14 septembre. Le retour sera marqué par des spectacles à Abobo et à Cocody dans le cadre du festival.