An 63 : La paix, la sécurité et la stabilité en priorité

Une vue des éléments des Forces de défense et de sécurité. (Ph: Présidence)
Une vue des éléments des Forces de défense et de sécurité. (Ph: Présidence)
Une vue des éléments des Forces de défense et de sécurité. (Ph: Présidence)

An 63 : La paix, la sécurité et la stabilité en priorité

Le 08/08/23 à 13:22
modifié 08/08/23 à 13:45
La répétition est pédagogique. Alors que l’environnement politique sous-régional se laisse hanter par de tristes aventures d’instabilité, la Côte d’Ivoire, à travers son Président Alassane Ouattara, ne trouve pas inutile de rappeler à chaque ivoirienne et à chaque ivoirien cette trilogie qui lui tient à cœur : paix, stabilité et sécurité.

« La paix, la sécurité et la cohésion sociale constituent nos atouts les plus importants pour la stabilité de notre pays. Nous devons maintenir ce climat de paix et de sécurité pour poursuivre la dynamique de développement socio-économique de notre beau pays », a-t-il dit dans son adresse à la nation.

« Le père de la nation ivoirienne, le Président Félix Houphouët-Boigny, avait pour seule obsession : la paix, la paix des cœurs, la paix sociale et la paix entre les nations. J’ai foi en cette vision parce que la paix est le premier pilier du développement. Nous continuerons, donc à y travailler, sans relâche, pour le bonheur et l’épanouissement de tous les habitants de notre beau pays, pour une Côte d’Ivoire en développement et moderne. Chaque Ivoirienne et chaque Ivoirien a un rôle à jouer et je voudrais compter sur chacune et chacun de vous », a insisté Alassane Ouattara.

« Le Conseil national de sécurité que je préside se réunit régulièrement pour maintenir la veille sécuritaire dans notre pays et dans notre sous-région », ajoute le Chef de l’État ivoirien qui condamne à nouveau « la tentative de coup d’État au Niger qui constitue une grave menace à la paix et à la sécurité dans la sous-région ».

Les élections municipales et régionales du 2 septembre seront, à n’en point douter, un test grandeur nature de la volonté de chaque candidat et de chaque électeur à être un gardien de la paix et surtout à savoir l’offrir aux autres.

Alors que la Côte d’Ivoire est à 6% de croissance économique, c’est le lieu pour chacun de faire sien le propos de l’ancien secrétaire général de l’Onu Kofi Annan : « sans progrès, il n’y a pas de paix possible. Sans paix, il n’y a pas de progrès possible ».


Le 08/08/23 à 13:22
modifié 08/08/23 à 13:45