
Des auditeurs de l'année académique 2022-2023 en compagnie du ministre de la Défense et des Chefs des grands commandements
Des auditeurs de l'année académique 2022-2023 en compagnie du ministre de la Défense et des Chefs des grands commandements
Ecole de guerre de Yamoussoukro : Remise de brevets aux 24 auditeurs de l’année académique 2022-2023
Ils sont 24 officiers supérieurs en provenance de 10 pays. Auditeurs du 4e Cours d’études supérieures de défense (Cesd), au titre de l’année académique 2022-2023, ils ont reçu leurs brevets de formation, le 19 juillet 2023, marquant ainsi la fin officielle de dix (10) mois de formation.
C'était à la Fondation Félix Houphouët-Boigny pour la Recherche de la Paix à Yamoussoukro. Une cérémonie présidée par Téné Birahima Ouattara, Ministre d’Etat, Ministre de la Défense. A cette occasion, le premier responsable du département ministériel qui gère l’armée ivoirienne a indiqué que l’Etat entend « mettre un point d’honneur à l’amélioration des conditions de vie et de travail au sein du Csd. »
Ces 24 nouveaux diplômés de cette école de guerre viennent du Benin, du Burkina Faso, du Cameroun, du Congo, de la Guinée, du Niger, du Sénégal, du Togo, de la République Centrafricaine. La Côte d’Ivoire compte dans cette promotion 14 officiers supérieurs. Il faut signaler qu’avec cette promotion, ce sont au total 77 officiers supérieurs, représentant ainsi treize (13) nationalités d’Afrique de l’Ouest et Centrale qui ont été formés. « Le Cesd devient de plus en plus une référence dans la sous-région, voire en Afrique au regard du nombre de pays qui nous font l’amitié de nous confier la formation de leurs cadres supérieurs de défense au sein de cette institution militaire », s’est réjoui le ministre Téné Birahima Ouattara.
A propos des conditions de vie des auditeurs et de travail des encadreurs et instructeurs, il a affirmé que la Côte d’Ivoire s’est inscrite résolument dans leur amélioration. Elle entend ainsi se donner les moyens pour offrir à toutes ses forces « une formation de qualité, gage d’une armée professionnelle. »
A noter que la Côte d’Ivoire est l’un des rare pays à disposer d’une école de guerre et d’une académie internationale de lutte contre le terrorisme.
Le Cours d’études supérieures de défense vise, peut-ont lire dans sa fiche technique, à « former des chefs militaires capables d’exercer d’emblée des responsabilités de haut niveau avec une vision prospective solide sur l’Afrique ». Il s’agit à travers cette école de guerre également de « former des interlocuteurs politico-militaires crédibles, véritables forces de proposition auprès des autorités politiques et du haut commandement militaire ».
SOURCE : CELCOM-DEF
Ces 24 nouveaux diplômés de cette école de guerre viennent du Benin, du Burkina Faso, du Cameroun, du Congo, de la Guinée, du Niger, du Sénégal, du Togo, de la République Centrafricaine. La Côte d’Ivoire compte dans cette promotion 14 officiers supérieurs. Il faut signaler qu’avec cette promotion, ce sont au total 77 officiers supérieurs, représentant ainsi treize (13) nationalités d’Afrique de l’Ouest et Centrale qui ont été formés. « Le Cesd devient de plus en plus une référence dans la sous-région, voire en Afrique au regard du nombre de pays qui nous font l’amitié de nous confier la formation de leurs cadres supérieurs de défense au sein de cette institution militaire », s’est réjoui le ministre Téné Birahima Ouattara.
A propos des conditions de vie des auditeurs et de travail des encadreurs et instructeurs, il a affirmé que la Côte d’Ivoire s’est inscrite résolument dans leur amélioration. Elle entend ainsi se donner les moyens pour offrir à toutes ses forces « une formation de qualité, gage d’une armée professionnelle. »
A noter que la Côte d’Ivoire est l’un des rare pays à disposer d’une école de guerre et d’une académie internationale de lutte contre le terrorisme.
Le Cours d’études supérieures de défense vise, peut-ont lire dans sa fiche technique, à « former des chefs militaires capables d’exercer d’emblée des responsabilités de haut niveau avec une vision prospective solide sur l’Afrique ». Il s’agit à travers cette école de guerre également de « former des interlocuteurs politico-militaires crédibles, véritables forces de proposition auprès des autorités politiques et du haut commandement militaire ».
SOURCE : CELCOM-DEF