La Première dame a été honorée pour son engagement dans la lutte contre le Sida pédiatrique.
Prévalence du Sida : Dominique Ouattara fait commandeur dans l’Ordre du mérite de la Santé
Invitée d’honneur à la 9e session du Conseil national de lutte contre le Sida (Cnls) le 14 juillet 2023, la Première dame de Côte d’Ivoire, Dominique Ouattara, a été élevée au rang de commandeur dans l’Ordre du mérite de la santé par le ministre de la Santé, de l’Hygiène publique et de la Couverture maladie universelle (Mshpcmu), Pierre N’Gou Dimba.
La présidente de Children of Africa, par ailleurs ambassadeur spécial de l’Onusida pour la prévention de la transmission mère-enfant du Vih et pour la promotion du traitement pédiatrique, a été honorée pour ses actions en faveur du couple mère-enfant et pour son engagement aux côtés des enfants infectés et affectés par le Vih-Sida.
« Vous contribuez à la lutte contre les inégalités d’accès au traitement pour les enfants, et vous faites de l’élimination du Sida pédiatrique une priorité. Comme vous l’avez dit, le 9 juin 2022, à l’Hôtel Ivoire, ‘‘il est injuste qu’un enfant naisse infecté par le Vih’’ », a rappelé Pierre Dimba.
Dominique Ouattara a, à son tour de parole, martelé que la question de la lutte contre le Vih-Sida a toujours constitué un volet important de son engagement en matière de santé, notamment en ce qui concerne l’élimination du Sida pédiatrique.
« C’est dans ce cadre que j’ai mené plusieurs actions et plaidoyers, en vue de lutter efficacement contre la transmission mère-enfant du Vih et de promouvoir le traitement pédiatrique sur le continent. En effet, selon l’Onusida, nos enfants n’avaient pas accès, jusqu’à récemment, à un traitement spécifique à leur âge. J’ai trouvé cette situation injuste et préoccupante. Ce qui m’a poussée à poursuivre mes plaidoyers sur toutes les tribunes internationales, et à travers des organisations telles que l’Organisation des Premières dames d’Afrique contre le Vih-Sida (Opdas), afin de rendre plus accessibles les traitements antirétroviraux sous leur forme pédiatrique », a relaté l’épouse du Président de la République.
Un taux de prévalence du Vih de 1,82 % en 2022
La Première dame s’est, toutefois, réjouie des avancées significatives de la Côte d’Ivoire dans la riposte nationale au Vih. Cette dynamique, a-t-elle argué, met de plus en plus le pays sur la trajectoire du contrôle de la pandémie.
La baisse régulière de la prévalence de la maladie, passée de 4,7 % en 2010 à 1,82 % en 2022, atteste bien de la pertinence des actions menées.
« Au regard de ces chiffres très encourageants, l’élimination complète du Sida pédiatrique devient un objectif atteignable, et ce, malgré les nombreux défis que nous devons encore surmonter ensemble pour y parvenir (...). En ce qui concerne la transmission mère-enfant du Vih, j’encourage vivement toutes les futures mamans à suivre toutes leurs consultations prénatales dans les centres de santé, pour bénéficier du dépistage précoce. Cette anticipation permettra de sauver leur vie et celle de leurs nouveau-nés », a conclu Dominique Ouattara.
L’invitée d’honneur du Cnls a également reçu, toujours pour son engagement dans la lutte contre le Sida, un trophée de la part du Réseau ivoirien des jeunes contre le Sida (Rijes), qui lui a été remis par son président, Jean-Michel Degnan Drouyahi.
« Vous contribuez à la lutte contre les inégalités d’accès au traitement pour les enfants, et vous faites de l’élimination du Sida pédiatrique une priorité. Comme vous l’avez dit, le 9 juin 2022, à l’Hôtel Ivoire, ‘‘il est injuste qu’un enfant naisse infecté par le Vih’’ », a rappelé Pierre Dimba.
Dominique Ouattara a, à son tour de parole, martelé que la question de la lutte contre le Vih-Sida a toujours constitué un volet important de son engagement en matière de santé, notamment en ce qui concerne l’élimination du Sida pédiatrique.
« C’est dans ce cadre que j’ai mené plusieurs actions et plaidoyers, en vue de lutter efficacement contre la transmission mère-enfant du Vih et de promouvoir le traitement pédiatrique sur le continent. En effet, selon l’Onusida, nos enfants n’avaient pas accès, jusqu’à récemment, à un traitement spécifique à leur âge. J’ai trouvé cette situation injuste et préoccupante. Ce qui m’a poussée à poursuivre mes plaidoyers sur toutes les tribunes internationales, et à travers des organisations telles que l’Organisation des Premières dames d’Afrique contre le Vih-Sida (Opdas), afin de rendre plus accessibles les traitements antirétroviraux sous leur forme pédiatrique », a relaté l’épouse du Président de la République.
Un taux de prévalence du Vih de 1,82 % en 2022
La Première dame s’est, toutefois, réjouie des avancées significatives de la Côte d’Ivoire dans la riposte nationale au Vih. Cette dynamique, a-t-elle argué, met de plus en plus le pays sur la trajectoire du contrôle de la pandémie.
La baisse régulière de la prévalence de la maladie, passée de 4,7 % en 2010 à 1,82 % en 2022, atteste bien de la pertinence des actions menées.
« Au regard de ces chiffres très encourageants, l’élimination complète du Sida pédiatrique devient un objectif atteignable, et ce, malgré les nombreux défis que nous devons encore surmonter ensemble pour y parvenir (...). En ce qui concerne la transmission mère-enfant du Vih, j’encourage vivement toutes les futures mamans à suivre toutes leurs consultations prénatales dans les centres de santé, pour bénéficier du dépistage précoce. Cette anticipation permettra de sauver leur vie et celle de leurs nouveau-nés », a conclu Dominique Ouattara.
L’invitée d’honneur du Cnls a également reçu, toujours pour son engagement dans la lutte contre le Sida, un trophée de la part du Réseau ivoirien des jeunes contre le Sida (Rijes), qui lui a été remis par son président, Jean-Michel Degnan Drouyahi.