Récompenser les candidates lauréates du mois de juin et faire le bilan à mi-parcours. Tel était le contenu de la conférence de presse de Christiane Mahilé, présidente du comité d’organisation du concours de beauté dénommé Miss Tabouret royal 1825 (Comisstar 1825). C’était le 8 juillet, au siège de cette organisation, aux II-Plateaux-Aghien. La cérémonie s’est déroulée en présence des lauréates, des miss des mois précédents, des responsables des comités régionaux, des parents, amis et connaissances.

Eudoxie Gouaméné, la miss du mois et ses deux dauphines, Audrey Gnézélé (la première) et Dolorès Koné (la deuxième) sont reparties respectivement avec la somme de 300 000 F Cfa, 200 000 F Cfa et 100 000 F Cfa.

En termes de bilan, Christiane Mahilé a indiqué que ce concours de beauté, qui a été lancé le 2 mars 2023, a enregistré 21 candidates durant les présélections. Elles ont été départagées par 17 511 votants sur internet. Et neuf d’entre elles se sont partagées la cagnotte de 1 800 000 F Cfa. Il s’agit pour le Comisstar, selon la conférencière, de permettre à ces filles rondement belles, âgées de 18 à 25 ans, d’avoir le financement pour entreprendre, dès les phases de présélection.

Elle a également précisé que ce concours va s’étendre à l’Europe. « Cette compétition qui a débuté en Côte d’Ivoire au mois d’avril 2023 a un volet diaspora qui démarre le 1er août 2023 en France et ensuite en Angleterre », a-t-elle fait savoir.

Christiane Mahilé a profité de l’occasion pour repréciser la spécificité de ce concours. « Miss Tabouret royal 1825 est un concours spécialement dédié à la femme africaine. Il s’agit de mettre en valeur cette beauté qui se singularise par une hanche rétrécie, des rondeurs au niveau de la poitrine et du contour fessier. » A-t-elle dit.

Le vote des candidates se fait en ligne sur un site dédié. A la finale, il est prévu un vote cumulé en ligne et en salle par un jury.