
Le ministre de la Justice et des Droits de l'homme en compagnie de grands magistrats venus l'assister à cette cérémonie au Pole pénal économique et financier.
Le ministre de la Justice et des Droits de l'homme en compagnie de grands magistrats venus l'assister à cette cérémonie au Pole pénal économique et financier.
Lutte contre la corruption: Sansan Kambilé satisfait de l’expertise du Pôle pénal économique et financier
Le ministre de la Justice et des Droits de l’homme a indiqué que le Pôle pénal économique et financier constitue véritablement un indicateur de bonne gouvernance qui rassure les investisseurs. Il a reconnu que cette jeune juridiction mérite, au regard de l’importance de sa mission, d’être accompagnée par des appuis suffisants tant au niveau financier, des infrastructures que des équipements. Il s’est donc engagé à œuvrer au mieux à offrir au personnel de cette entité des meilleures conditions de travail.
Cette journée porte ouverte a enregistré un grand nombre de personnalités. Au nombre desquelles la magistrate hors hiérarchie, Chantal Nanaba Camara, nommée présidente du Conseil constitutionnel, le président de la Cour des comptes, Diomandé Kanvaly, et le président du Conseil d’État, Patrice Yao Kouakou.
Esso Blanche Abanet, magistrate, présidente du Pôle pénal économique et financier, a présenté la structure qu’elle dirige qui a vu le jour officiellement le 29 janvier 2020. Elle a fait savoir que cet organe judiciaire comprend en son sein des acteurs de toute la chaîne pénale (Poursuite-Instruction et Jugement) ayant une formation spécialisée aussi bien dans la poursuite que la répression de la criminalité financière. Le Pôle pénal économique et financier, à l’en croire, est une juridiction pénale de premier degré, mais spécialisée en matière de délinquance économique et financière. Elle est chargée de la poursuite, de l’instruction et du jugement des infractions en matière économique et financière