Après l’immolation du mouton : Les excréments déversés dans les caniveaux

Les excréments déversés dans les caniveaux, à Bingerville. (Edouard Koudou)
Les excréments déversés dans les caniveaux, à Bingerville. (Edouard Koudou)
Les excréments déversés dans les caniveaux, à Bingerville. (Edouard Koudou)

Après l’immolation du mouton : Les excréments déversés dans les caniveaux

Le 29/06/23 à 10:42
modifié 29/06/23 à 10:42
Les fidèles musulmans ont célébré, dans le calme, la fête de l’Aïd-El-Kebir ou la Tabaski, dans la journée du mercredi 28 juin à Bingerville à l’instar des autres communes. Ceux qui ont en avaient les moyens ont pu s’offrir un ou deux moutons pour le sacrifice.

Sauf que le mouton, une fois immolé, de retour de la mosquée, certaines personnes n’ont pu adopter de comportement civique vis-à-vis de l’environnement. Celles-ci se sont accaparées purement et simplement de ce qui les intéressait, c’est-à-dire la viande, abandonnant de facto, les déchets constitués particulièrement d’excréments, au lieu où l’immolation a été effectuée.

Ces déchets pourraient boucher le passage d’eau et provoquer des inondations. (Edouard Koudou)
Ces déchets pourraient boucher le passage d’eau et provoquer des inondations. (Edouard Koudou)



Sans aucun souci, d’autres personnes ont carrément déversé ces excréments dans les caniveaux de la voie principale de la ville. La protection du cadre de vie, ils en ont cure.

L’on a pu faire ce triste constat malheureusement à plusieurs endroits de cette voie principale, dans l’après-midi. Partant du carrefour Socogi 2 jusqu’à l’ex-grand marché, le constat était pareil.

Vivement que l’on reconnaisse la nécessité d’entretenir son cadre de vie car la vie humaine en dépend également. Dans la mesure où ces déchets pourraient boucher le passage d’eau et provoquer des inondations en cette saison des pluies. Après la fête, la vie ne s’arrête pas. Bien au contraire, elle poursuit.



Le 29/06/23 à 10:42
modifié 29/06/23 à 10:42