jti
Média et professionnalisme: Le 1er certificateur Journalisms trust initiative en Côte d’Ivoire connu
Lancé en 2019 par Reporters sans Frontières, le processus de certification Journalisms trust initiative (Jti) prend de plus en plus forme en Côte d’Ivoire.
Bureau norme audit (Bna), le premier certificateur accrédité par le système ouest-africain d’accréditation (Soac Waas) a été présenté récemment à la Maison de la presse d’Abidjan-Plateau.
« Avec cette pré-accréditation sur le Jti, Bna devient le premier certificateur africain et s’engage à l’accomplir avec rigueur, et à couvrir toute la région », explique Marcel Gbagbidi, représentant résident Soac Waas.
« Plusieurs éléments sont identifiés dans le cadre de notre mission, à savoir la transparence, le professionnalisme et la responsabilité. Globalement, le programme de certification met l’accent sur l’éthique et la fiabilité de l’information », confie Wilfried Kouamé, directeur qualité et développement de Bna.
« Face au chaos informationnel du fait de l’avènement des Technologies de l’information et de la communication (Tic), un standard a été développé en vue d’améliorer la qualité du contenu médiatique. L’objectif de ce projet est d’amener les médias à jeter un regard rétrospectif sur leurs pratiques (leur contenu éditorial) et de pouvoir montrer à la face du monde la qualité de leur travail. Ce, afin de redonner confiance aux journalistes », explique Marc Aboflan, responsable Afrique du Jti chez Reporters Sans Frontières.
C’est dans ce sens qu’un atelier média sur la Certification Jti (Journalisms trust initiative) a été organisé à Abidjan à l’intention des directeurs de publication d’une trentaine d’organes de presse ivoiriens (presse et audiovisuel).
Depuis le début de l’opération, ce sont près de 500 médias qui sont engagés dans le processus à travers le monde dont 15 ont obtenu la certification, un seul sur le continent africain.
V. Kouakou avec une correspondance particulière
« Avec cette pré-accréditation sur le Jti, Bna devient le premier certificateur africain et s’engage à l’accomplir avec rigueur, et à couvrir toute la région », explique Marcel Gbagbidi, représentant résident Soac Waas.
« Plusieurs éléments sont identifiés dans le cadre de notre mission, à savoir la transparence, le professionnalisme et la responsabilité. Globalement, le programme de certification met l’accent sur l’éthique et la fiabilité de l’information », confie Wilfried Kouamé, directeur qualité et développement de Bna.
« Face au chaos informationnel du fait de l’avènement des Technologies de l’information et de la communication (Tic), un standard a été développé en vue d’améliorer la qualité du contenu médiatique. L’objectif de ce projet est d’amener les médias à jeter un regard rétrospectif sur leurs pratiques (leur contenu éditorial) et de pouvoir montrer à la face du monde la qualité de leur travail. Ce, afin de redonner confiance aux journalistes », explique Marc Aboflan, responsable Afrique du Jti chez Reporters Sans Frontières.
C’est dans ce sens qu’un atelier média sur la Certification Jti (Journalisms trust initiative) a été organisé à Abidjan à l’intention des directeurs de publication d’une trentaine d’organes de presse ivoiriens (presse et audiovisuel).
Depuis le début de l’opération, ce sont près de 500 médias qui sont engagés dans le processus à travers le monde dont 15 ont obtenu la certification, un seul sur le continent africain.
V. Kouakou avec une correspondance particulière