Faman Touré et Benjamin Mojuyé ont paraphé cet accord entre leurs structures. (Ph: DR)
Promotion de l’entrepreneuriat féminin : Un programme d’alphabétisation et d’initiation à l’anglais initié
La Chambre de commerce et d’industrie de Côte d’Ivoire (Cci-CI) et le lycée Charles de Gaulle se sont engagés dans un programme qui permettra de former 500 entrepreneures pour une première période de douze mois. La signature de ce projet a eu lieu le jeudi, à la CCI-CI au Plateau.
A cette occasion, le président de institution, Faman Touré, a indiqué que le projet va concerner l’alphabétisation en langue française et une initiation à l’anglais des affaires.
Il a souligné que l’objectif est de rendre les bénéficiaires plus efficaces et plus compétitives dans l’exercice de leurs activités, d’élargir leurs horizons et de leur ouvrir la route de nouvelles opportunités d’affaires surtout à l’international.
A l’en croire, la Chambre de commerce et d’industrie de Côte d’Ivoire a fait de l’entrepreneuriat féminin l’un de ses axes majeurs d’intervention.
« L’entrepreneuriat féminin est un moteur de croissance économique durable. Les femmes représentent une part importante de la population africaine, et en les encourageant à créer et à diriger des entreprises, on stimule l’innovation, la création d’emplois et le développement économique de la région », a-t-il indiqué, en citant une étude de la Banque africaine de développement (Bad) qui a révélé que si les femmes participaient à l’économie au même niveau que les hommes, le Produit intérieur brut (Pib) de l’Afrique pourrait augmenter de 25 % d’ici 2025.
Benjamin Mojuyé, fondateur du lycée Charles de Gaulle, a annoncé que pour la première année, ce sont 500 femmes sélectionnées dans les différentes fédérations d’associations féminines qui sont concernées par cette formation.
En sus, a-t-il souligné, le projet sera étendu à de milliers de femmes sur l’ensemble du territoire national. « Le projet va démarrer d’ici la fin de cette année », a-t-il conclu
Il a souligné que l’objectif est de rendre les bénéficiaires plus efficaces et plus compétitives dans l’exercice de leurs activités, d’élargir leurs horizons et de leur ouvrir la route de nouvelles opportunités d’affaires surtout à l’international.
A l’en croire, la Chambre de commerce et d’industrie de Côte d’Ivoire a fait de l’entrepreneuriat féminin l’un de ses axes majeurs d’intervention.
« L’entrepreneuriat féminin est un moteur de croissance économique durable. Les femmes représentent une part importante de la population africaine, et en les encourageant à créer et à diriger des entreprises, on stimule l’innovation, la création d’emplois et le développement économique de la région », a-t-il indiqué, en citant une étude de la Banque africaine de développement (Bad) qui a révélé que si les femmes participaient à l’économie au même niveau que les hommes, le Produit intérieur brut (Pib) de l’Afrique pourrait augmenter de 25 % d’ici 2025.
Benjamin Mojuyé, fondateur du lycée Charles de Gaulle, a annoncé que pour la première année, ce sont 500 femmes sélectionnées dans les différentes fédérations d’associations féminines qui sont concernées par cette formation.
En sus, a-t-il souligné, le projet sera étendu à de milliers de femmes sur l’ensemble du territoire national. « Le projet va démarrer d’ici la fin de cette année », a-t-il conclu