Dans la pièce "Une reine chez les nouchis", les drôles des femmes ont traité Subtilement et avec humour, la question de la déforestation et de la sécheresse. (Ph: Dr)
Dans la pièce "Une reine chez les nouchis", les drôles des femmes ont traité Subtilement et avec humour, la question de la déforestation et de la sécheresse. (Ph: Dr)
Festival international des compétences et talents de la femme: L’apothéose en couleur et en humour
Il est 21 heures 45 min lorsque les rideaux s’ouvrent sur la scène de la salle des fêtes du palais des congrès du Sofitel Abidjan hôtel ivoire le samedi 10 juin.
Le public chauffé à blanc par plusieurs prestations musicales et humoristiques découvre, avec curiosité, le premier tableau de la pièce de théâtre « Une reine chez les nouchis ».
On y voit des femmes, houe à la main qui tentent de labourer un sol rétif. Sa majesté « Sisi » incarnée par Caroline da Silva, vêtue comme une princesse akan, fait son entrée, escortée par sa garde.
Soudain, les travaux champêtres pénibles mais paisibles vont se transformer en une révolte paysanne. La régente du royaume est accusée d’être à la source de la sècheresse qui rend le sol aride et indocile. Elle sera déchue de son trône et va se retrouver dans une zone urbaine.
Sans repaire, déboussolé, elle va se lier d’amitié avec des « Nouchis », des jeunes de la rue qui vivent de menus larcins qui vont l’aider à reconquérir sa couronne.
Un spectacle haut en couleur et à l’énergie communicative qui a maintenu le public en haleine en traitant subtilement de la déforestation, la sécheresse, le chômage mais aussi en célébrant la solidarité, l’entraide et l’amour.
Le public a ri, grincé des dents, acquiescé, a été peiné, outré quelquefois mais jamais ne s’est ennuyé. Une succession d’émotion qui a duré plus d’une heure avant d’être ponctuée par des applaudissements nourris à la fin du spectacle.
Cette pièce de théâtre met un terme au festival international des compétences et talents de la femme qui s’est ouvert le 2 juin sous le thème « Femme rurale, pilier d’un mode sans faim ».
Pendant huit jours, forum, formations, spectacles etc ont meublé cet évènement qui a décidé de mettre en lumière les femmes dans tous les domaines d'activités.
On y voit des femmes, houe à la main qui tentent de labourer un sol rétif. Sa majesté « Sisi » incarnée par Caroline da Silva, vêtue comme une princesse akan, fait son entrée, escortée par sa garde.
Soudain, les travaux champêtres pénibles mais paisibles vont se transformer en une révolte paysanne. La régente du royaume est accusée d’être à la source de la sècheresse qui rend le sol aride et indocile. Elle sera déchue de son trône et va se retrouver dans une zone urbaine.
Sans repaire, déboussolé, elle va se lier d’amitié avec des « Nouchis », des jeunes de la rue qui vivent de menus larcins qui vont l’aider à reconquérir sa couronne.
Un spectacle haut en couleur et à l’énergie communicative qui a maintenu le public en haleine en traitant subtilement de la déforestation, la sécheresse, le chômage mais aussi en célébrant la solidarité, l’entraide et l’amour.
Le public a ri, grincé des dents, acquiescé, a été peiné, outré quelquefois mais jamais ne s’est ennuyé. Une succession d’émotion qui a duré plus d’une heure avant d’être ponctuée par des applaudissements nourris à la fin du spectacle.
Cette pièce de théâtre met un terme au festival international des compétences et talents de la femme qui s’est ouvert le 2 juin sous le thème « Femme rurale, pilier d’un mode sans faim ».
Pendant huit jours, forum, formations, spectacles etc ont meublé cet évènement qui a décidé de mettre en lumière les femmes dans tous les domaines d'activités.