Homo et transsexualité : Des fortunes diverses en Afrique et dans le monde...
FMTV s’est fait écho le 18 mai 2023, de ce que l’État du Texas aux États-Unis a interdit les soins de transition de genre aux mineurs.
Et la chaîne française d’ajouter : « pour devenir une loi, le texte doit encore être signé par le gouverneur républicain, Greg Abbott, ce qui semble tenir de la formalité compte tenu de ses positions sur le sujet ».
Cette mesure arrive alors que plusieurs gouvernements, notamment occidentaux et institutions internationales font pression sur les autorités ougandaises, précisément le Président ougandais, Yoweri Museveni, de ne pas promulguer une loi criminalisant l’homosexualité.
Début mai 2023, le Chef de l’État ougandais a demandé aux parlementaires de « reconsidérer » une loi anti-LGBT+ dans une lettre lue mercredi au Parlement.
Yoweri Museveni exhortant les parlementaires à maintenir la criminalisation des relations sexuelles entre personnes de même sexe, mais pas celle du fait d’« être homosexuel », comme rapporté par plusieurs médias dont la chaîne de télévision Africanews.
L'Afrique se cherche une position
Avant l’épisode ougandais, l’actualité la plus retentissante relativement à l’acceptation ou pas de l’homosexualité sur le continent, fut certainement la manifestation du 20 février 2022, en faveur de la criminalisation de cette orientation sexuelle. Cela, alors qu’un texte de loi allant dans ce sens venait d’être rejeté début janvier 2022.
La communauté LGBT+ n’est forcément pas en terrain hostile partout sur le continent, notamment en Côte d’Ivoire où des actions de promotion sont annoncées.
Par exemple, l’on pouvait lire le 17 mai 2023, sur le site Internet de France 24 : « Le magazine Meleagbo se présente comme la première revue LGBT+ d’Afrique de l’ouest francophone. Fondée par l’Ong Gromo, qui défend les droits des minorités sexuelles à Abidjan, cette publication entend mettre en valeur des icônes promouvant la culture, l'histoire et les réussites de cette communauté. Un pas en avant sur un continent où une trentaine de pays condamnent et répriment les attaques sur les personnes LGBT+. Mais le parcours reste semé d’embûches ».
Cette mesure arrive alors que plusieurs gouvernements, notamment occidentaux et institutions internationales font pression sur les autorités ougandaises, précisément le Président ougandais, Yoweri Museveni, de ne pas promulguer une loi criminalisant l’homosexualité.
Début mai 2023, le Chef de l’État ougandais a demandé aux parlementaires de « reconsidérer » une loi anti-LGBT+ dans une lettre lue mercredi au Parlement.
Yoweri Museveni exhortant les parlementaires à maintenir la criminalisation des relations sexuelles entre personnes de même sexe, mais pas celle du fait d’« être homosexuel », comme rapporté par plusieurs médias dont la chaîne de télévision Africanews.
L'Afrique se cherche une position
Avant l’épisode ougandais, l’actualité la plus retentissante relativement à l’acceptation ou pas de l’homosexualité sur le continent, fut certainement la manifestation du 20 février 2022, en faveur de la criminalisation de cette orientation sexuelle. Cela, alors qu’un texte de loi allant dans ce sens venait d’être rejeté début janvier 2022.
La communauté LGBT+ n’est forcément pas en terrain hostile partout sur le continent, notamment en Côte d’Ivoire où des actions de promotion sont annoncées.
Par exemple, l’on pouvait lire le 17 mai 2023, sur le site Internet de France 24 : « Le magazine Meleagbo se présente comme la première revue LGBT+ d’Afrique de l’ouest francophone. Fondée par l’Ong Gromo, qui défend les droits des minorités sexuelles à Abidjan, cette publication entend mettre en valeur des icônes promouvant la culture, l'histoire et les réussites de cette communauté. Un pas en avant sur un continent où une trentaine de pays condamnent et répriment les attaques sur les personnes LGBT+. Mais le parcours reste semé d’embûches ».