Colloque universitaire sur les villes nouvelles: Vers une politique capable de transformer durablement la société
Ouvert le 11 mai, à l’Université Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan-Cocody, le colloque international sur la problématique de la ville nouvelle en Afrique dans un contexte de mondialisation a refermé ses portes le 13 mai 2023.
Il a été organisé par le Laboratoire des sciences de la communication, des arts et de la culture de l’Unité de formation et recherche en information, communication et arts (Lscac-Ufrica), en collaboration avec l’Université Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan-Cocody et Akwaba city.
En présence du Professeur Paré Joseph, vice-président du comité scientifique, les universitaires ont indiqué que les villes africaines ont un déficit qui nécessite d’aller vers une ville nouvelle.
Selon Dr Yao Gérard, secrétaire général du colloque, les pistes explorées invitent en définitive à une politique capable de transformer durablement la société. Elles consisteraient à trouver avec l’Etat la possibilité de ne pas oublier les populations les plus défavorisées mais à les prendre en compte et surtout à penser à l’urbanisation nouvelle.
A cette occasion, Professeur Paré Joseph a salué ses assises qui, selon lui, montrent bien que l’université n’est pas une entité qui se referme sur elle-même. Les travaux menés traduisent la nouvelle vision de celle-ci en termes de renforcement et à la dynamique des actions vers les sociétés.
Quant au Professeur Kamaté André, doyen de l’Ufrica, représentant la marraine, la ministre de l’Education nationale et de l’Alphabétisation, le Professeur Mariatou Koné, il a exprimé sa gratitude et reconnaissance aux personnalités, panelistes et l’entreprise Sophia présents à cet événement.
Il a également exhorté les uns et les autres à une synergie d’action afin de booster davantage cette unité de formation. « Nous devons travailler et faire en sorte que l’Ufrica reste dans le sillon tracé par nos prédécesseurs. Une vitrine, une institution qui compte dans le domaine du monde des arts, et celui de l’information et de la communication », a exhorté le doyen de l’Ufrica.
Touré Ahmed Boua, président directeur général de Sophia et initiateur du projet Akwaba city ville nouvelle, a pour sa part réaffirmé la volonté de sa structure à œuvrer aux côtés des scientifiques en vue de relever les défis.
Rappelons que plusieurs pays ont pris part à ce colloque. Notamment, le Burkina Faso, le Sénégal, le Mali, le Niger, le Togo, la Rdc, le Bénin, le Tchad, le Gabon, la France et la Côte d’Ivoire.
Le thème central était : « Penser la ville africaine du futur pour panser la ville africaine d’aujourd’hui ».
V. Kouakou
En présence du Professeur Paré Joseph, vice-président du comité scientifique, les universitaires ont indiqué que les villes africaines ont un déficit qui nécessite d’aller vers une ville nouvelle.
Selon Dr Yao Gérard, secrétaire général du colloque, les pistes explorées invitent en définitive à une politique capable de transformer durablement la société. Elles consisteraient à trouver avec l’Etat la possibilité de ne pas oublier les populations les plus défavorisées mais à les prendre en compte et surtout à penser à l’urbanisation nouvelle.
A cette occasion, Professeur Paré Joseph a salué ses assises qui, selon lui, montrent bien que l’université n’est pas une entité qui se referme sur elle-même. Les travaux menés traduisent la nouvelle vision de celle-ci en termes de renforcement et à la dynamique des actions vers les sociétés.
Quant au Professeur Kamaté André, doyen de l’Ufrica, représentant la marraine, la ministre de l’Education nationale et de l’Alphabétisation, le Professeur Mariatou Koné, il a exprimé sa gratitude et reconnaissance aux personnalités, panelistes et l’entreprise Sophia présents à cet événement.
Il a également exhorté les uns et les autres à une synergie d’action afin de booster davantage cette unité de formation. « Nous devons travailler et faire en sorte que l’Ufrica reste dans le sillon tracé par nos prédécesseurs. Une vitrine, une institution qui compte dans le domaine du monde des arts, et celui de l’information et de la communication », a exhorté le doyen de l’Ufrica.
Touré Ahmed Boua, président directeur général de Sophia et initiateur du projet Akwaba city ville nouvelle, a pour sa part réaffirmé la volonté de sa structure à œuvrer aux côtés des scientifiques en vue de relever les défis.
Rappelons que plusieurs pays ont pris part à ce colloque. Notamment, le Burkina Faso, le Sénégal, le Mali, le Niger, le Togo, la Rdc, le Bénin, le Tchad, le Gabon, la France et la Côte d’Ivoire.
Le thème central était : « Penser la ville africaine du futur pour panser la ville africaine d’aujourd’hui ».
V. Kouakou