Jeux olympiques Paris 2024 et Milano Cortina 2026: Le CIO soutient l’Ukraine et reste ferme contre la Russie et le Bélarus
Le Mouvement olympique affiche une solidarité sans précédent avec les athlètes ukrainiens et la communauté olympique ukrainienne. Dans un communiqué produit le 24 février 2023, le Comité international olympique (Cio) a rappelé son engagement aux côtés de l’Ukraine dès le début du conflit.
« Cette guerre est une violation flagrante de la Trêve olympique, laquelle était en vigueur au début du conflit et, partant, de la Charte olympique. C’est la raison pour laquelle le Cio a pris des sanctions sans précédent à l’encontre des États et gouvernements russes et bélarussiens qui sont les seuls responsables de cette guerre. Ces sanctions impliquent notamment qu’aucun sport international ne peut être organisé en Russie et au Bélarus, aucun drapeau, aucun hymne, ni aucun symbole national, de quelque nature que ce soit de ces pays, ne doit être présent et aucun représentant gouvernemental ne peut être accrédité lors des manifestations sportives internationales », mentionne le communiqué.
Le Cio, qui n’a pas voulu tomber dans la polémique, a rappelé les actions concrètes réalisées au bénéfice des sportifs ukrainiens.
« Le Mouvement olympique est fermement résolu à maintenir son engagement envers les athlètes ukrainiens et à les aider sans réserve, car nous voulons tous voir une délégation ukrainienne forte aux Jeux olympiques de Paris 2024 et aux Jeux olympiques d’hiver de Milano Cortina 2026 », poursuit la note. Laquelle précise que « les Jeux olympiques ne peuvent empêcher les guerres et les conflits. Ils ne peuvent pas non plus résoudre tous les problèmes politiques et sociaux de notre monde. Cela relève du domaine de la politique. En revanche, les jeux peuvent donner l’exemple d’un monde où chacun se plie aux mêmes règles et se respecte mutuellement ».
Les sanctions contre la Russie et le Bélarus renforcées
Concernant la Russie et le Bélarus, le Cio a exprimé de sérieuses inquiétudes quant à la recommandation d’interdire de compétition les athlètes et les officiels de ces deux pays, tel que préconisé par les juges, sur la base de leur seule nationalité.
« Cela soulève de sérieuses questions en lien avec la non-discrimination ». Par contre le Cio a décidé de renforcer les sanctions déjà prises contre la Russie et le Bélarus : « aucun événement sportif international organisé ou soutenu par une Fédération internationale ou un Comité national olympique en Russie ou au Bélarus » ; « aucun drapeau, hymne, couleur ou toute autre identification de quelque nature que ce soit de ces pays ne sera affiché lors d’un événement ou d’une réunion sportive, y compris sur l’ensemble du site. Aucun représentant du gouvernement ou de l’État russe et bélarusse ne devra être invité ou accrédité pour un événement ou une réunion sportive internationale ».
Le Cio a même triplé le montant de son fonds de solidarité pour l’Ukraine afin que les athlètes bénéficient de tout le soutien nécessaire pour surmonter les énormes défis auxquels ils sont confrontés pour faire de leur rêve olympique une réalité.
Le Cio, qui n’a pas voulu tomber dans la polémique, a rappelé les actions concrètes réalisées au bénéfice des sportifs ukrainiens.
« Le Mouvement olympique est fermement résolu à maintenir son engagement envers les athlètes ukrainiens et à les aider sans réserve, car nous voulons tous voir une délégation ukrainienne forte aux Jeux olympiques de Paris 2024 et aux Jeux olympiques d’hiver de Milano Cortina 2026 », poursuit la note. Laquelle précise que « les Jeux olympiques ne peuvent empêcher les guerres et les conflits. Ils ne peuvent pas non plus résoudre tous les problèmes politiques et sociaux de notre monde. Cela relève du domaine de la politique. En revanche, les jeux peuvent donner l’exemple d’un monde où chacun se plie aux mêmes règles et se respecte mutuellement ».
Les sanctions contre la Russie et le Bélarus renforcées
Concernant la Russie et le Bélarus, le Cio a exprimé de sérieuses inquiétudes quant à la recommandation d’interdire de compétition les athlètes et les officiels de ces deux pays, tel que préconisé par les juges, sur la base de leur seule nationalité.
« Cela soulève de sérieuses questions en lien avec la non-discrimination ». Par contre le Cio a décidé de renforcer les sanctions déjà prises contre la Russie et le Bélarus : « aucun événement sportif international organisé ou soutenu par une Fédération internationale ou un Comité national olympique en Russie ou au Bélarus » ; « aucun drapeau, hymne, couleur ou toute autre identification de quelque nature que ce soit de ces pays ne sera affiché lors d’un événement ou d’une réunion sportive, y compris sur l’ensemble du site. Aucun représentant du gouvernement ou de l’État russe et bélarusse ne devra être invité ou accrédité pour un événement ou une réunion sportive internationale ».
Le Cio a même triplé le montant de son fonds de solidarité pour l’Ukraine afin que les athlètes bénéficient de tout le soutien nécessaire pour surmonter les énormes défis auxquels ils sont confrontés pour faire de leur rêve olympique une réalité.