Rajaa Belfkih, Secrétaire générale des femmes entreprenantes mondiales et présidente de la Plamfe Maroc. (Ph: Marc Yevou)
Rajaa Belfkih, Secrétaire générale des femmes entreprenantes mondiales et présidente de la Plamfe Maroc. (Ph: Marc Yevou)
École de la 2e chance en Côte d'Ivoire : Ils ont dit
Rajaa Belfkih, Secrétaire générale des femmes entreprenantes mondiales et présidente de la Plamfe Maroc : « Nous sommes en plein dans un des objectifs de notre organisation »
Je suis très heureuse de cette convention de rapprochement qui confirme le partenariat académique Sud-Sud entre nos deux pays amis, le Maroc et la Côte d’Ivoire. Je suis très émue de voir, aujourd’hui (Ndlr, le 3 mars) à Rabat, au sein de l’université Mohamed V, l’aboutissement d’un projet que nous avons initié il y a deux ou trois mois. Notre travail, en tant qu’organisation pour le leadership féminin, doit nécessairement passer par la formation. Nous sommes donc en plein dans un des objectifs de notre organisation.
Prof. My Smail Hafidi Alaoui, directeur du centre de formation et d’expertise de l’université Mohamed V : « Des actions concrètes vont suivre la convention-cadre »
Nous sommes très heureux et fiers d’accueillir une délégation de la Côte d’Ivoire, ce pays ami avec qui nous allons coopérer. Nous venons de signer une convention-cadre. Nous allons, dans les jours qui viennent, travailler sur des actions concrètes. C’est la preuve matérielle que la collaboration Sud-Sud est bien en marche et nous avons beaucoup de choses à faire ensemble. La Côte d’Ivoire est un pays ami et frère.
Cheick Sangaré, ex-fonctionnaire international, spécialiste des droits humains : « Cette convention est un élément important pour la formation »
Cette convention, pour moi, est un bon outil pour m’investir dans la formation des droits de l’homme, dans l’université virtuelle qui va débuter très bientôt. Je ne voulais donc pas manquer cette signature de convention qui est un élément très important pour la formation, l’entrepreneuriat, l’autonomisation des femmes.
Me Jessica Nanou, avocate et administrateur au sein de l’Académie des femmes : « Permettre aux femmes de relever leur niveau de leadership en Côte d’Ivoire »
Cette signature de convention nous fait plaisir. La compétence des femmes est un sujet très important en Afrique. Dans le cadre de la coopération Sud-Sud, c’est une bonne opportunité d’avoir cette convention avec une université pour former des femmes à travers l’académie. Pour nous, c’est une bonne nouvelle, une bonne action. Dans la mise en œuvre de cette convention, plusieurs jeunes femmes qui n’avaient pas forcément une formation de qualité pourront, à travers cette plateforme, être formées, être compétitives et relever leur niveau de leadership en Côte d’Ivoire.
Fidèle Yapi, directeur général de la Décentralisation et du développement local : « Une opportunité pour les femmes qui sont candidates aux élections locales »
Nous sortons d’une belle cérémonie organisée par la plateforme des entrepreneures qui a permis de signer une convention entre l’université de Mohammed V de Rabat et l’Académie des femmes pour promouvoir la formation en matière de leadership féminin. Je pense que la Côte d’Ivoire a beaucoup à gagner, puisqu’il y a de plus en plus de femmes qui sont candidates aux élections des conseils municipaux et régionaux. Il est important qu’elles puissent être soutenues par des formations qui leur permettent de mieux gérer leurs collectivités. J’appelle de tous mes vœux des actions concrètes pour matérialiser le leadership féminin. Les femmes qui sont à la tête des conseils régionaux obtiennent très souvent de très bons résultats. Il faut donc les encourager à non seulement entrer en politique, mais aussi à être des agents de développement.
Propos recueillis
Je suis très heureuse de cette convention de rapprochement qui confirme le partenariat académique Sud-Sud entre nos deux pays amis, le Maroc et la Côte d’Ivoire. Je suis très émue de voir, aujourd’hui (Ndlr, le 3 mars) à Rabat, au sein de l’université Mohamed V, l’aboutissement d’un projet que nous avons initié il y a deux ou trois mois. Notre travail, en tant qu’organisation pour le leadership féminin, doit nécessairement passer par la formation. Nous sommes donc en plein dans un des objectifs de notre organisation.
Prof. My Smail Hafidi Alaoui, directeur du centre de formation et d’expertise de l’université Mohamed V : « Des actions concrètes vont suivre la convention-cadre »
Nous sommes très heureux et fiers d’accueillir une délégation de la Côte d’Ivoire, ce pays ami avec qui nous allons coopérer. Nous venons de signer une convention-cadre. Nous allons, dans les jours qui viennent, travailler sur des actions concrètes. C’est la preuve matérielle que la collaboration Sud-Sud est bien en marche et nous avons beaucoup de choses à faire ensemble. La Côte d’Ivoire est un pays ami et frère.
Cheick Sangaré, ex-fonctionnaire international, spécialiste des droits humains : « Cette convention est un élément important pour la formation »
Cette convention, pour moi, est un bon outil pour m’investir dans la formation des droits de l’homme, dans l’université virtuelle qui va débuter très bientôt. Je ne voulais donc pas manquer cette signature de convention qui est un élément très important pour la formation, l’entrepreneuriat, l’autonomisation des femmes.
Me Jessica Nanou, avocate et administrateur au sein de l’Académie des femmes : « Permettre aux femmes de relever leur niveau de leadership en Côte d’Ivoire »
Cette signature de convention nous fait plaisir. La compétence des femmes est un sujet très important en Afrique. Dans le cadre de la coopération Sud-Sud, c’est une bonne opportunité d’avoir cette convention avec une université pour former des femmes à travers l’académie. Pour nous, c’est une bonne nouvelle, une bonne action. Dans la mise en œuvre de cette convention, plusieurs jeunes femmes qui n’avaient pas forcément une formation de qualité pourront, à travers cette plateforme, être formées, être compétitives et relever leur niveau de leadership en Côte d’Ivoire.
Fidèle Yapi, directeur général de la Décentralisation et du développement local : « Une opportunité pour les femmes qui sont candidates aux élections locales »
Nous sortons d’une belle cérémonie organisée par la plateforme des entrepreneures qui a permis de signer une convention entre l’université de Mohammed V de Rabat et l’Académie des femmes pour promouvoir la formation en matière de leadership féminin. Je pense que la Côte d’Ivoire a beaucoup à gagner, puisqu’il y a de plus en plus de femmes qui sont candidates aux élections des conseils municipaux et régionaux. Il est important qu’elles puissent être soutenues par des formations qui leur permettent de mieux gérer leurs collectivités. J’appelle de tous mes vœux des actions concrètes pour matérialiser le leadership féminin. Les femmes qui sont à la tête des conseils régionaux obtiennent très souvent de très bons résultats. Il faut donc les encourager à non seulement entrer en politique, mais aussi à être des agents de développement.
Propos recueillis