Guillaume Koffi - Issa Diabaté - Koffi & Diabaté Architctes - Crédit photo Seibou Traoré
Biennale d’architecture de Venise 2023 : "Koffi & Diabaté Architectes" invité à la 18e exposition internationale
« Sur invitation de la curatrice, Lesley Lokko, le cabinet ivoirien d'architecture Koffi & Diabaté a l’honneur d’annoncer sa participation à la 18e exposition internationale d'architecture de La Biennale di Venezia, intitulée : Le Laboratoire du Futur », rapporte un communiqué dudit cabinet transmis à Fratmat.info, ce mardi 7 mars 2023.
Organisée sur le thème « Décolonisation et décarbonisation », cet événement majeur de la scène culturelle internationale se tiendra du 20 mai au 26 novembre 2023, à Venise, en Italie.
C’est pour la première fois que les projecteurs seront braqués sur l'Afrique et sa diaspora. Cette Biennale présentera les travaux de 89 participants. La moitié de ces travaux sont originaires du continent africain. Cette importante rencontre mettra en lumière la « voix et le savoir-faire des grandes figures de l’architecture et de l’urbanisme. »
Le cabinet sera aux côtés d'autres cabinets internationaux . « A travers sa participation à la Biennale di Venezia, l’Agence entend contribuer à l'émergence d'une voix et d’une écriture architecturales novatrices, reflets de problématiques et de solutions africaines, locales, pour une lecture nouvelle de la ville moderne, différente, ancrée dans des valeurs qui se veulent, universelles », peut-on lire dans le communiqué.
Selon la commissaire de l’exposition, Lesley Lokko, le thème et le titre de cette édition perçoivent le continent africain comme le protagoniste du futur. « Il y a un endroit sur cette planète où toutes ces questions d’équité, de race, d’espoir et de peur convergent et fusionnent. C’est l’Afrique.
Au niveau anthropologique, nous sommes tous africains. Et ce qui se passe en Afrique nous arrive à tous », explique la commissaire de l’exposition sur www.labiennale.org. Et d’indiquer que cet évènement invite des « architectes et praticiens à travers un champ élargi de disciplines créatives puiser dans leurs pratiques contemporaines ».
Evoquant le choix du continent, elle fait remarquer que l’Afrique est le laboratoire du futur parce que sa moyenne d’âge est de moitié inférieure à celle de l’Europe et des États-Unis, et une décennie plus jeune que l’Asie.
A cela, il faut ajouter le fait que l’Afrique est le continent qui s’urbanise le plus rapidement au monde, avec une croissance de près de 4 % par an.
C’est pour la première fois que les projecteurs seront braqués sur l'Afrique et sa diaspora. Cette Biennale présentera les travaux de 89 participants. La moitié de ces travaux sont originaires du continent africain. Cette importante rencontre mettra en lumière la « voix et le savoir-faire des grandes figures de l’architecture et de l’urbanisme. »
Le cabinet sera aux côtés d'autres cabinets internationaux . « A travers sa participation à la Biennale di Venezia, l’Agence entend contribuer à l'émergence d'une voix et d’une écriture architecturales novatrices, reflets de problématiques et de solutions africaines, locales, pour une lecture nouvelle de la ville moderne, différente, ancrée dans des valeurs qui se veulent, universelles », peut-on lire dans le communiqué.
Selon la commissaire de l’exposition, Lesley Lokko, le thème et le titre de cette édition perçoivent le continent africain comme le protagoniste du futur. « Il y a un endroit sur cette planète où toutes ces questions d’équité, de race, d’espoir et de peur convergent et fusionnent. C’est l’Afrique.
Au niveau anthropologique, nous sommes tous africains. Et ce qui se passe en Afrique nous arrive à tous », explique la commissaire de l’exposition sur www.labiennale.org. Et d’indiquer que cet évènement invite des « architectes et praticiens à travers un champ élargi de disciplines créatives puiser dans leurs pratiques contemporaines ».
Evoquant le choix du continent, elle fait remarquer que l’Afrique est le laboratoire du futur parce que sa moyenne d’âge est de moitié inférieure à celle de l’Europe et des États-Unis, et une décennie plus jeune que l’Asie.
A cela, il faut ajouter le fait que l’Afrique est le continent qui s’urbanise le plus rapidement au monde, avec une croissance de près de 4 % par an.