Le conférencier, Jules N’Takpé (au centre), invite le gouvernement à une oreille attentive à leurs difficultés. (Franck YEO)
Le conférencier, Jules N’Takpé (au centre), invite le gouvernement à une oreille attentive à leurs difficultés. (Franck YEO)
Transport : Un Syndicat plaide pour une subvention du super sans plomb
Le secrétaire général du syndicat national des chauffeurs Vtc de Côte d’Ivoire (Synacvtcci), Jules N’Takpé Boka plaide auprès du gouvernement afin que le prix de l’essence super sans plomb soit subventionné à l’instar du gasoil.
Il a lancé cet appel, ce vendredi 10 février 2023, à la Riviera palmeraie, lors d’un point-presse, et ce, suite à l’augmentation du super sans plomb, qui est passée de 775 Fcfa le mois de janvier à 815 Fcfa ce mois de février, soit une hausse de 40 Fcfa.
Selon le secrétaire général du Synacvtcci, le parc automobile de ce secteur d’activité est constitué à 98 % de véhicules qui utilisent ce produit pétrolier. « Le Synacvtcci, tout en félicitant le gouvernement pour tous les sacrifices consentis jusque-là pour préserver le pouvoir d’achat des populations ivoiriennes, appelle le gouvernement de Côte d’Ivoire à faire le geste qui sauve en subventionnant, comme il le fait déjà pour le gasoil, l’essence super sans plomb pour éviter à ce corps de métier actuellement en pleine croissance dans notre pays de disparaître », a plaidé Jules N’Takpé Boka.
A l’en croire, l’augmentation de prix du litre de l’essence super sans plomb, double inéluctablement le volume du travail des chauffeurs Vtc de Côte d’Ivoire. « Cela entraine beaucoup de stress et les impactera négativement sur le plan physique et psychologique si rien n’est fait pour inverser cette tendance », a expliqué le conférencier.
Pour lui, la hausse du prix du super sans plomb réduit le pouvoir d’achat des chauffeurs Vtc, car les prix des applications de mise en relation avec les clients qui sont fixés en fonction du kilométrage n’ont pas changé ; les pourcentages de défalcation sont restés inchangés et surtout les recettes versées aux propriétaires de véhicules sont restées également inchangées.
Toutefois, Jules N’Takpé reconnaît les efforts consentis par le gouvernement ivoirien pour soutenir les couches les plus défavorables afin de préserver leur pouvoir d’achat. « Le gouvernement, soucieux de préserver le pouvoir d’achat des ménages vivant sur le sol de Côte d’Ivoire, a consenti d’énormes sacrifices pour subventionner certains produits pétroliers dont le gasoil. Ce sont quelque 120 milliards de Fcfa qui ont été dépensés par l’Etat, de janvier à avril 2022, pour éviter une hausse généralisée des prix sur les marchés », a Jules NTakpé Boka.
Selon le secrétaire général du Synacvtcci, le parc automobile de ce secteur d’activité est constitué à 98 % de véhicules qui utilisent ce produit pétrolier. « Le Synacvtcci, tout en félicitant le gouvernement pour tous les sacrifices consentis jusque-là pour préserver le pouvoir d’achat des populations ivoiriennes, appelle le gouvernement de Côte d’Ivoire à faire le geste qui sauve en subventionnant, comme il le fait déjà pour le gasoil, l’essence super sans plomb pour éviter à ce corps de métier actuellement en pleine croissance dans notre pays de disparaître », a plaidé Jules N’Takpé Boka.
A l’en croire, l’augmentation de prix du litre de l’essence super sans plomb, double inéluctablement le volume du travail des chauffeurs Vtc de Côte d’Ivoire. « Cela entraine beaucoup de stress et les impactera négativement sur le plan physique et psychologique si rien n’est fait pour inverser cette tendance », a expliqué le conférencier.
Pour lui, la hausse du prix du super sans plomb réduit le pouvoir d’achat des chauffeurs Vtc, car les prix des applications de mise en relation avec les clients qui sont fixés en fonction du kilométrage n’ont pas changé ; les pourcentages de défalcation sont restés inchangés et surtout les recettes versées aux propriétaires de véhicules sont restées également inchangées.
Toutefois, Jules N’Takpé reconnaît les efforts consentis par le gouvernement ivoirien pour soutenir les couches les plus défavorables afin de préserver leur pouvoir d’achat. « Le gouvernement, soucieux de préserver le pouvoir d’achat des ménages vivant sur le sol de Côte d’Ivoire, a consenti d’énormes sacrifices pour subventionner certains produits pétroliers dont le gasoil. Ce sont quelque 120 milliards de Fcfa qui ont été dépensés par l’Etat, de janvier à avril 2022, pour éviter une hausse généralisée des prix sur les marchés », a Jules NTakpé Boka.