Crise ukrainienne : Vers une intensification de la guerre…
Les récents échanges de prisonniers et différentes discussions entre la Russie et l’Ukraine ont laissé entrevoir une lueur d’espoir quant à la fin de la guerre ou du moins une accalmie sur les fronts.
Mais la réunion annoncée ce vendredi 20 janvier 2023, par le secrétaire général de l’Otan, Jens Stoltenberg, présage davantage de violence dans les affrontements sur les différents théâtres. Parce que les alliés ont décidé en marge des discussions du Forum économique de Davos, de fournir à l’Ukraine des armes « plus lourdes et plus modernes » pour l’aider à tenir tête aux offensives de la Russie, a expliqué le 18 janvier 2023, le secrétaire général de l’Alliance, Jens Stoltenberg.
« Nous nous réunirons (vendredi) à Ramstein (Allemagne) au sein du groupe de contact pour l’Ukraine dirigé par les États-Unis et le message principal sera un soutien accru avec des armes plus lourdes et plus modernes », a déclaré le secrétaire général de l’Alliance, Jens Stoltenberg.
« Nous nous réunirons (vendredi) à Ramstein (Allemagne) au sein du groupe de contact pour l’Ukraine dirigé par les États-Unis et le message principal sera un soutien accru avec des armes plus lourdes et plus modernes », a déclaré le secrétaire général de l’Alliance, Jens Stoltenberg.
Même si les Occidentaux se gardent de fournir une catégorie d’armes qui pourraient être considérées par Moscou comme une attaque directe de leur part, un renforcement des capacités ukrainiennes provoquera certainement une augmentation de moyens du côté russe.
L’on note donc une certaine prudence de la part des alliés, notamment à travers la retenue observée par le Chancelier Olaf Scholz. Même s’il se dit pressé de donner son feu vert à la livraison de tanks à Kiev – parce qu’il a promis de poursuivre son soutien à l’Ukraine – il n’a toutefois pas mentionné l'envoi de chars d'assaut.
Olaf Scholz a pourtant été explicitement interrogé sur l'envoi de chars Léopard 2 réclamés par Kiev et que plusieurs pays, dont la Pologne, sont prêts à livrer.
L’on note donc une certaine prudence de la part des alliés, notamment à travers la retenue observée par le Chancelier Olaf Scholz. Même s’il se dit pressé de donner son feu vert à la livraison de tanks à Kiev – parce qu’il a promis de poursuivre son soutien à l’Ukraine – il n’a toutefois pas mentionné l'envoi de chars d'assaut.
Olaf Scholz a pourtant été explicitement interrogé sur l'envoi de chars Léopard 2 réclamés par Kiev et que plusieurs pays, dont la Pologne, sont prêts à livrer.