Les abobolais ont célébré le nouvel an selon leurs moyens. (Ph: Franck YEO)
Abobo : Les populations ont fêté dans la ferveur
Les populations d’Abobo et singulièrement celles de derrière rails, un sous-quartier de la commune, sont sorties nombreuses le samedi 31 décembre 2022, pour célébrer la Saint Sylvestre après avoir été éprouvées les années antérieures par la pandémie à coronavirus (Covid-19).
Tout a commencé à 20 heures avec les jets de patards quand bien-même cela est interdit en cette période festive. Les rues étaient bondées de monde (hommes, femmes et enfants), personne ne voulant se faire compter l’événement tant attendu.
En tout cas, les artères principales, à savoir de la gare de train (Ran) au terminus des autobus de la Sotra (Société des transports abidjanais), et du carrefour 21e arrondissement à Gagnoa-gare, ont enregistré un déferlement humain dans tous les sens.
Les populations d’Abobo derrière rails n’ont pas boudé leur plaisir en cette fin d’année. Au moment où certains ont pris le chemin de l’église pour en ressortir peu après minuit, d’autres en revanche ont pris d’assaut les maquis, bars et bistrots selon les moyens. Certes, c’était timide aux environs de 22 heures mais à partir de 23 heures, la plupart des maquis et bars ont refusé du monde.
« Pour le moment tout se passe bien. Les clients sont au rendez-vous mais nous attendons encore plus », a indiqué Elvis K., gérant de maquis non loin des rails. Puis d'ajouter : « Comme vous le savez, il y a un concert au rond-point d’Anador. Il est certain qu’après cela nous aurons des clients ».
Au Baoulé (nom d’un maquis), il y avait encore du monde aux environs de 1h 30, lorsque nous y arrivons. La tenancière qui a requis l’anonymat, se félicite de la recette de cette nuit. « C’est personnel sinon j'allais vous communiquer mon chiffre d’affaires. Mais retenez que comparativement aux autres jours, je suis comblée », a-t-elle affirmé.
Mais il n’y a pas que les maquis, bars et bistrots, il y a également les vendeuses de poisson à la braise, les vendeuses de salade et les vendeurs de viande ont pour la plupart tiré leur épingle du jeu.
En tout cas, les artères principales, à savoir de la gare de train (Ran) au terminus des autobus de la Sotra (Société des transports abidjanais), et du carrefour 21e arrondissement à Gagnoa-gare, ont enregistré un déferlement humain dans tous les sens.
Les populations d’Abobo derrière rails n’ont pas boudé leur plaisir en cette fin d’année. Au moment où certains ont pris le chemin de l’église pour en ressortir peu après minuit, d’autres en revanche ont pris d’assaut les maquis, bars et bistrots selon les moyens. Certes, c’était timide aux environs de 22 heures mais à partir de 23 heures, la plupart des maquis et bars ont refusé du monde.
« Pour le moment tout se passe bien. Les clients sont au rendez-vous mais nous attendons encore plus », a indiqué Elvis K., gérant de maquis non loin des rails. Puis d'ajouter : « Comme vous le savez, il y a un concert au rond-point d’Anador. Il est certain qu’après cela nous aurons des clients ».
Au Baoulé (nom d’un maquis), il y avait encore du monde aux environs de 1h 30, lorsque nous y arrivons. La tenancière qui a requis l’anonymat, se félicite de la recette de cette nuit. « C’est personnel sinon j'allais vous communiquer mon chiffre d’affaires. Mais retenez que comparativement aux autres jours, je suis comblée », a-t-elle affirmé.
Mais il n’y a pas que les maquis, bars et bistrots, il y a également les vendeuses de poisson à la braise, les vendeuses de salade et les vendeurs de viande ont pour la plupart tiré leur épingle du jeu.