Le petit Kouassi n'aime sa tablette (Bavane)
Cadeau de noël: Quand le jouet ne plait pas à l’enfant
C’est la veille de la fête de la noël, qui semble être la fête à entendre certains parents. Puisque c’est dans la nuit du 24 décembre que le père noël rend visite aux familles pour y déposer le ou les cadeaux de l’enfant ou des enfants. Bien entendu, avant d’y arriver, il faut avoir les moyens d’en acheter et l’offrir au môme. Pas n’importe quel cadeau, puisque connaissant son enfant, le parent doit être capable de savoir ce que ce dernier aime ou veut avoir comme jouet.
Parce que si tu lui achètes un jouet qu’il n’aime pas, tu n’as rien fait. Au lieu de lui apporter la joie, c’est le contraire pour un enfant qui est surtout compliqué. « Papa, je t’ai dit que je veux un piano. Pourquoi, tu m’as apporté une tablette. J’aime pas ! Je ne veux pas ! », se plaignait enfant Kouassi, en pleur, à qui le père a offert une tablette au lieu d’un piano, qu’il souhaitait avoir.
Et là, nous sommes au quartier Sicogie 2 à Bingerville, dans la famille Kouassi, jeune cadre de banque. Bien aimant ses enfants au nombre de trois, chacun d’eux a eu son jouet. Un vélo pour l’ainé (9 ans) un autre pour le deuxième (7ans) et le troisième, Kouassi Uriel Junior (5ans), a ‘’exigé’’ avoir une guitare. Et non... Le papa en a fait à sa tête en lui achetant une tablette.
Se réveillant ce 25 décembre comme bon enfant de parents aisés, Uriel, découvre à son chevet, une tablette bien emballée, non loin du sapin. Il jette un premier regard, ensuite un deuxième et troisième. Oui ! Ce que ses yeux ne voulaient pas voir, c’est ce qu’ils voient. Alors ce sont des cris et pleurs qui s’en ont suivis pour manifester son mécontentement à papa noël qui est retourné au ciel . Alors, c’est papa Kouassi qui prendra les pots cassés. Uriel se jette sur le père en criant « papa, je t’ai dit de dire à papa noël que je voulais une guitare. Pourquoi, il m’a envoyé ça ? Je ne veux pas, je ne veux pas », criait le môme à tue-tête, avec des pleurs en se jetant par terre.
"Je vais faire comment ? C'est mon prince ohoo! lui et moi allons sortir pour lui acheter une guitare. Nos enfants sont souvent très capricieux. Et c'est ce qui fait la beauté et la joie d'une famille. Je vais lui offri ce que son coeur désir", assure Arthur Kouassi.
Il grimpe donc dans son véhicule avec Uriel, direction la ville pour chercher un magasin ouvert, dans lequel père noël a été kidnappé et continue de servir encore les enfants soit mécontent comme Uriel ou dont les parents avaient peut-être eu des soucis.
Et là, nous sommes au quartier Sicogie 2 à Bingerville, dans la famille Kouassi, jeune cadre de banque. Bien aimant ses enfants au nombre de trois, chacun d’eux a eu son jouet. Un vélo pour l’ainé (9 ans) un autre pour le deuxième (7ans) et le troisième, Kouassi Uriel Junior (5ans), a ‘’exigé’’ avoir une guitare. Et non... Le papa en a fait à sa tête en lui achetant une tablette.
Se réveillant ce 25 décembre comme bon enfant de parents aisés, Uriel, découvre à son chevet, une tablette bien emballée, non loin du sapin. Il jette un premier regard, ensuite un deuxième et troisième. Oui ! Ce que ses yeux ne voulaient pas voir, c’est ce qu’ils voient. Alors ce sont des cris et pleurs qui s’en ont suivis pour manifester son mécontentement à papa noël qui est retourné au ciel . Alors, c’est papa Kouassi qui prendra les pots cassés. Uriel se jette sur le père en criant « papa, je t’ai dit de dire à papa noël que je voulais une guitare. Pourquoi, il m’a envoyé ça ? Je ne veux pas, je ne veux pas », criait le môme à tue-tête, avec des pleurs en se jetant par terre.
"Je vais faire comment ? C'est mon prince ohoo! lui et moi allons sortir pour lui acheter une guitare. Nos enfants sont souvent très capricieux. Et c'est ce qui fait la beauté et la joie d'une famille. Je vais lui offri ce que son coeur désir", assure Arthur Kouassi.
Il grimpe donc dans son véhicule avec Uriel, direction la ville pour chercher un magasin ouvert, dans lequel père noël a été kidnappé et continue de servir encore les enfants soit mécontent comme Uriel ou dont les parents avaient peut-être eu des soucis.