Les pays africains invités à poursuivre leurs efforts pour la redynamisation du Campc. (Ph: Franck YEO)
Les pays africains invités à poursuivre leurs efforts pour la redynamisation du Campc. (Ph: Franck YEO)
Campc: Plus de 45000 cadres africains et 6000 administrations publiques et privées formés en 47 ans d’existence
Le Centre africain de management et de perfectionnement des cadres (Campc) a tenu ce mercredi 14 décembre 2022, dans ses locaux à Abidjan-Cocody, la 37e session ordinaire de son conseil d’administration en vue de faire le bilan de ses 47 ans d’existence.
Cette institution intergouvernementale a, depuis sa création en 1970 et opérationnelle en 1975, formé plus de 45 mille cadres africains en provenance d’une vingtaine de pays d’Afrique francophone. En plus, 6000 administrations et organisations africaines et non africaines publiques et privées ont été également formées par le Campc.
La ministre de la Fonction publique et de la Réforme administrative du Niger, Hadizatou Kafougou, présidente du conseil d’administration du Campc, a rappelé que la création de cette structure est le fruit d’une vision perfectionniste des Chefs d’Etat qui ont voulu établir de nouveaux rapports entre la formation initiale, le monde du travail et la société.
« L’intérêt que porte la Côte d’Ivoire à notre institution commune, traduit parfaitement la compréhension qu’ont les hautes personnalités politiques du pays, de l’importance de la formation professionnelle qui doit occuper les avant-postes dans l’irrésistible marche en avant de nos Etats vers l’émergence », a-t-elle déclaré, soulignant que le Campc est un outil d’intégration qui doit être préservé.
Le directeur de cabinet, Sangaré Moustapha, représentant le ministre de l’Enseignement technique, de la Formation professionnelle et de l’Apprentissage, Koffi N’Guessan, vice-président du conseil d’administration du Campc, a félicité le directeur général, le Pr Joseph Pierre Assi-Kaudjhis, pour le travail remarquable qu’il abat à la tête de cette institution. Car, dit-il, il a réussi à mettre à flot cet important outil d’intégration sous-régionale.
« Un vaste projet de renforcement des capacités des fonctionnaires de la Côte d’Ivoire a été confié au Campc. Cela veut dire que la confiance revient et que le Campc va se déployer dans tous les Etats membres pour fournir des formations de qualité des ressources humaines », dit-il.
Le directeur général du Campc, le Pr Joseph Pierre Assi-Kaudjhis, a indiqué que depuis 2018, la direction générale a engagé une série de réformes conformément au plan stratégique 2018-2022 adopté et validé par le conseil d’administration lors de sa 35e session tenue à Abidjan, le 18 juillet 2018. « Ces réformes ont permis au Campc de sortir d’une longue crise et de recouvrer la confiance de ses partenaires », s’est-il réjoui.
Toutefois, il reconnaît que le sentier de la redynamisation du Campc demeure encore parsemé de nombreuses embûches et des efforts infrastructurels, matériels et financiers importants restent à faire pour garantir la durabilité de la position de leader de la formation professionnelle. C’est pourquoi il exhorte les pays africains, en général et les Etats membres, en particulier, à poursuivre leurs efforts dans la redynamisation du Campc, gage de l’émergence des économies africaines.
« Cet engagement permettra au Campc de disposer d’activités pérennes de formation et de conseil avec nos administrations et organisations, et de remobiliser ainsi des ressources propres substantielles nécessaires à sa redynamisation », a déclaré le Pr Joseph Kaudjhis.
La ministre de la Fonction publique et de la Réforme administrative du Niger, Hadizatou Kafougou, présidente du conseil d’administration du Campc, a rappelé que la création de cette structure est le fruit d’une vision perfectionniste des Chefs d’Etat qui ont voulu établir de nouveaux rapports entre la formation initiale, le monde du travail et la société.
« L’intérêt que porte la Côte d’Ivoire à notre institution commune, traduit parfaitement la compréhension qu’ont les hautes personnalités politiques du pays, de l’importance de la formation professionnelle qui doit occuper les avant-postes dans l’irrésistible marche en avant de nos Etats vers l’émergence », a-t-elle déclaré, soulignant que le Campc est un outil d’intégration qui doit être préservé.
Le directeur de cabinet, Sangaré Moustapha, représentant le ministre de l’Enseignement technique, de la Formation professionnelle et de l’Apprentissage, Koffi N’Guessan, vice-président du conseil d’administration du Campc, a félicité le directeur général, le Pr Joseph Pierre Assi-Kaudjhis, pour le travail remarquable qu’il abat à la tête de cette institution. Car, dit-il, il a réussi à mettre à flot cet important outil d’intégration sous-régionale.
« Un vaste projet de renforcement des capacités des fonctionnaires de la Côte d’Ivoire a été confié au Campc. Cela veut dire que la confiance revient et que le Campc va se déployer dans tous les Etats membres pour fournir des formations de qualité des ressources humaines », dit-il.
Le directeur général du Campc, le Pr Joseph Pierre Assi-Kaudjhis, a indiqué que depuis 2018, la direction générale a engagé une série de réformes conformément au plan stratégique 2018-2022 adopté et validé par le conseil d’administration lors de sa 35e session tenue à Abidjan, le 18 juillet 2018. « Ces réformes ont permis au Campc de sortir d’une longue crise et de recouvrer la confiance de ses partenaires », s’est-il réjoui.
Toutefois, il reconnaît que le sentier de la redynamisation du Campc demeure encore parsemé de nombreuses embûches et des efforts infrastructurels, matériels et financiers importants restent à faire pour garantir la durabilité de la position de leader de la formation professionnelle. C’est pourquoi il exhorte les pays africains, en général et les Etats membres, en particulier, à poursuivre leurs efforts dans la redynamisation du Campc, gage de l’émergence des économies africaines.
« Cet engagement permettra au Campc de disposer d’activités pérennes de formation et de conseil avec nos administrations et organisations, et de remobiliser ainsi des ressources propres substantielles nécessaires à sa redynamisation », a déclaré le Pr Joseph Kaudjhis.