Dr Jean-Jacques Konadjé, auteur du livre "Attentat de Grand-Bassam : dans le feu de l'action". (Ph: Bavane)
Dr Jean-Jacques Konadjé, auteur du livre "Attentat de Grand-Bassam : dans le feu de l'action". (Ph: Bavane)
Livre "Attentat de Grand Bassam" : Un devoir de mémoire pour Dr Jean-Jacques Konadjé
Le livre "Attentat de Grand-Bassam: dans le feu de l'action" est l’œuvre écrite par Dr Jean-Jacques Konadjé. Pour, selon lui, répondre à un devoir de mémoire et aussi rendre hommage aux victimes et aux forces de défense et de sécurité.
L’ouvrage de 210 pages a été dédicacé, dans la soirée du mercredi 23 novembre 2022, au Sofitel Abidjan Hôtel Ivoire en présence de la Grande chancelière, Henriette Dagri Diabaté, du ministre d'Etat, ministre de la Défense, Téné Birahima Ouattara et plusieurs autorités coutumières, politiques et militaires.
Le livre à travers lequel l’on peut lire un entretien exclusif du général de corps d’armées, Doumbia Lassina, actuel chef d’état-major de Côte d’Ivoire, retrace l’intervention des forces de défense et de sécurité durant cet attentat terroriste qui a ébranlé la Côte d’Ivoire le 13 mars 2016. Et qui a fait 19 morts.
A en croire Dr Jean Jacques Konadjé, la rédaction de cette œuvre est également motivée par le fait que l’attentat de Grand-Bassam fait désormais partie de l’histoire des Ivoiriens. Ecrire donc pour ne pas l’oublier. Ensuite, il s’agit d’un devoir intellectuel pour l’auteur. Parce que selon lui, cet incident fait partie de la vie de la nation. En qualité donc de spécialiste des questions de défense et de sécurité, il était important pour lui d’écrire sur cet attentat.
L’une des motivations à ne pas négliger, il s’agit d’un hommage aux forces de défense et de sécurité. « Ce sont des personnes qui sacrifient leur vie pour sauver celle des autres. Il faut leur rendre hommage », a-t-il indiqué.
Dans cet ouvrage, Dr Jean Jacques Konadjé fait également des recommandations. Notamment, la prévention. C’est-à-dire, une réflexion profonde basée sur les réalités socioculturelles. « Si des Africains se sont illustrés de façon négative, c’est dû à plusieurs raisons. Cependant, la question idéologique est au dernier plan. C’est d'abord pour des motivations sécuritaires, économiques. Il faut investir dans le développement local. Il faut que l’Etat occupe l'espace qui lui revient. C’est à cette condition qu’on pourra lutter contre le terrorisme. La réponse militaire doit être celle qui vient en dernière position », propose-t-il dans l’œuvre.
"Attentat de Grand-Bassam : dans le feu de l'action" est divisé en trois parties. La première couvre le contexte de survenance de l’attentat de Grand-Bassam. La deuxième partie parle de la Côte d’Ivoire entre prise de conscience et anticipation face à la menace djihadiste. La dernière partie met l’accent sur la nouvelle configuration ouest-africaine due à l’expansion du terrorisme. L’œuvre a été préfacée par le ministre d’Etat, ministre de la Défense, Téné Birahima Ouattara.
"En mémoire, il s’est agi d’un 13 mars 2016, où la ville de Grand-Bassam a subi le premier attentat terroriste perpétré sur le territoire ivoirien. Jusqu’à ce jour, les âmes libres des 19 victimes de cette barbarie continuent de planer sur les bords de la plage. En pareille circonstance, le devoir de mémoire exige qu’on se souvienne des évènements douloureux. Une façon de rendre hommage à toutes ces familles endeuillées qui, loin des projecteurs, parfois dans la solitude la plus absolue, continuent de ressasser leur douleur et de crier leur indignation". Peut-on lire en résumé proposé par le Dr en science politique, Jean Jacques Konadjé. Il est l’actuel directeur de cabinet de la Grande chancellerie. Il est également consultant en géopolitique et relations internationales, expert international en maintien de la paix.
Le livre à travers lequel l’on peut lire un entretien exclusif du général de corps d’armées, Doumbia Lassina, actuel chef d’état-major de Côte d’Ivoire, retrace l’intervention des forces de défense et de sécurité durant cet attentat terroriste qui a ébranlé la Côte d’Ivoire le 13 mars 2016. Et qui a fait 19 morts.
A en croire Dr Jean Jacques Konadjé, la rédaction de cette œuvre est également motivée par le fait que l’attentat de Grand-Bassam fait désormais partie de l’histoire des Ivoiriens. Ecrire donc pour ne pas l’oublier. Ensuite, il s’agit d’un devoir intellectuel pour l’auteur. Parce que selon lui, cet incident fait partie de la vie de la nation. En qualité donc de spécialiste des questions de défense et de sécurité, il était important pour lui d’écrire sur cet attentat.
L’une des motivations à ne pas négliger, il s’agit d’un hommage aux forces de défense et de sécurité. « Ce sont des personnes qui sacrifient leur vie pour sauver celle des autres. Il faut leur rendre hommage », a-t-il indiqué.
Dans cet ouvrage, Dr Jean Jacques Konadjé fait également des recommandations. Notamment, la prévention. C’est-à-dire, une réflexion profonde basée sur les réalités socioculturelles. « Si des Africains se sont illustrés de façon négative, c’est dû à plusieurs raisons. Cependant, la question idéologique est au dernier plan. C’est d'abord pour des motivations sécuritaires, économiques. Il faut investir dans le développement local. Il faut que l’Etat occupe l'espace qui lui revient. C’est à cette condition qu’on pourra lutter contre le terrorisme. La réponse militaire doit être celle qui vient en dernière position », propose-t-il dans l’œuvre.
"Attentat de Grand-Bassam : dans le feu de l'action" est divisé en trois parties. La première couvre le contexte de survenance de l’attentat de Grand-Bassam. La deuxième partie parle de la Côte d’Ivoire entre prise de conscience et anticipation face à la menace djihadiste. La dernière partie met l’accent sur la nouvelle configuration ouest-africaine due à l’expansion du terrorisme. L’œuvre a été préfacée par le ministre d’Etat, ministre de la Défense, Téné Birahima Ouattara.
"En mémoire, il s’est agi d’un 13 mars 2016, où la ville de Grand-Bassam a subi le premier attentat terroriste perpétré sur le territoire ivoirien. Jusqu’à ce jour, les âmes libres des 19 victimes de cette barbarie continuent de planer sur les bords de la plage. En pareille circonstance, le devoir de mémoire exige qu’on se souvienne des évènements douloureux. Une façon de rendre hommage à toutes ces familles endeuillées qui, loin des projecteurs, parfois dans la solitude la plus absolue, continuent de ressasser leur douleur et de crier leur indignation". Peut-on lire en résumé proposé par le Dr en science politique, Jean Jacques Konadjé. Il est l’actuel directeur de cabinet de la Grande chancellerie. Il est également consultant en géopolitique et relations internationales, expert international en maintien de la paix.