Le vice-gouverneur du district des Lagunes, Ayé Ayé Marcellin, a représenté le ministre-gouverneur, à la cérémonie qui a eu lieu à Dabou, chef-lieu du District. (Ph : Véronique Dadié)
Le vice-gouverneur du district des Lagunes, Ayé Ayé Marcellin, a représenté le ministre-gouverneur, à la cérémonie qui a eu lieu à Dabou, chef-lieu du District. (Ph : Véronique Dadié)
District des Lagunes / Journée nationale de la paix: Les populations mobilisées pour une paix durable
Comme un seul homme, les populations des régions des Grands ponts, de La Mé et de l’Agnéby-Tiassa se sont mobilisées, hier, à la place Henri Konan Bédié de Dabou, afin de célébrer la réconciliation et le pardon, pour une paix durable dans le district autonome des Lagunes. A l’instar des autres localités du pays, cette entité décentralisée a célébré la 26e Journée nationale de la paix, doublée, pour la première fois, de celle du souvenir et du pardon.
Me Ayé Ayé Marcellin, vice-gouverneur du district autonome des Lagunes, au nom du ministre-gouverneur Lohoues Essoh Vincent, a mis en avant l’engagement du Président Ouattara et la volonté du gouvernement de rassembler les fils et filles de la Côte d’Ivoire en vue d’une paix durable.
«C’est notre quête inlassable de la paix qui nous réunit aujourd’hui. Cette journée est un moyen de mobiliser régulièrement les efforts du gouvernement en faveur de la paix, de la tolérance, de l’inclusion, de la compréhension et de la solidarité. Mais aussi d’exprimer le besoin de vivre et d'agir ensemble, unis dans nos différences, en vue de bâtir une nation de paix et d’harmonie », a-t-il exhorté.
Cette 26e édition de la Journée nationale de la paix, du pardon et du souvenir s’articule autour du thème : «Se souvenir, se pardonner pour construire ensemble l’avenir». A ce propos, le vice-gouverneur a soutenu qu’il est important de se replonger dans le passé, en vue de se projeter dans le futur. Évidemment, en s’appuyant sur le présent. Il a, dans cette optique, invité les populations ivoiriennes à se pardonner pour pouvoir vivre dans l’harmonie totale.
Les autorités locales, dont le préfet de la région des Grands ponts ainsi que le maire de Dabou, ont aussi invité les populations à se départir de la violence. Les 19, 20 et 21 octobre 2020, la ville de Dabou avait été secouée par des violences post-électorales qui ont causé plusieurs pertes en vie humaine. « Plus jamais ça ! », ont-ils exhorté.
Cette célébration a également été l’occasion pour les leaders des communautés ethniques, religieuses, de jeunes, de femmes... de lancer des appels pour prôner la paix, la cohésion et le vivre-ensemble.
«C’est notre quête inlassable de la paix qui nous réunit aujourd’hui. Cette journée est un moyen de mobiliser régulièrement les efforts du gouvernement en faveur de la paix, de la tolérance, de l’inclusion, de la compréhension et de la solidarité. Mais aussi d’exprimer le besoin de vivre et d'agir ensemble, unis dans nos différences, en vue de bâtir une nation de paix et d’harmonie », a-t-il exhorté.
Cette 26e édition de la Journée nationale de la paix, du pardon et du souvenir s’articule autour du thème : «Se souvenir, se pardonner pour construire ensemble l’avenir». A ce propos, le vice-gouverneur a soutenu qu’il est important de se replonger dans le passé, en vue de se projeter dans le futur. Évidemment, en s’appuyant sur le présent. Il a, dans cette optique, invité les populations ivoiriennes à se pardonner pour pouvoir vivre dans l’harmonie totale.
Les autorités locales, dont le préfet de la région des Grands ponts ainsi que le maire de Dabou, ont aussi invité les populations à se départir de la violence. Les 19, 20 et 21 octobre 2020, la ville de Dabou avait été secouée par des violences post-électorales qui ont causé plusieurs pertes en vie humaine. « Plus jamais ça ! », ont-ils exhorté.
Cette célébration a également été l’occasion pour les leaders des communautés ethniques, religieuses, de jeunes, de femmes... de lancer des appels pour prôner la paix, la cohésion et le vivre-ensemble.
Envoyé spécial à Dabou