
La rencontre a permis de faire le point sur l'état d'avancement du programme spécial. (Ph: Dr)
La rencontre a permis de faire le point sur l'état d'avancement du programme spécial. (Ph: Dr)
Prise en charge des jeunes dans les zones de fragilité: Le programme spécial enregistre un taux de réalisation de 73%
C’est un bilan satisfaisant qui a été présenté le lundi 7 novembre 2022, par le ministre de la Promotion de la jeunesse, de l’Insertion professionnelle et du Service civique, Mamadou Touré. Faisant le point sur la mise en œuvre du programme spécial dans les zones de fragilité, notamment les six régions du nord qui font frontière avec les pays en proie au terrorisme, dans le cadre d’une rencontre avec les préfets de région et les présidents des conseils régionaux, des élus et députés, le ministre a annoncé que le programme se poursuit.
En effet, démarré il y a quelques mois, il a permis, selon Mamadou Touré, de faire ressortir à la date du 30 septembre que sur les 22 912 bénéficiaires attendus dans l'ensemble de ces six régions, 16 785 bénéficiaires ont été sélectionnés et dont la prise en charge est en cours. Donc un taux de réalisation de 73%. Et 27% de jeunes à prendre encore en charge.
A l’en croire, cette rencontre avec les préfets de région, les présidents des conseils régionaux, les élus et les députés et ses collègues ministres a permis d'analyser ce programme dans sa mise en œuvre et d'identifier les défis. Tout en trouvant des réponses afin qu’au 31 décembre, le taux de réalisation soit à 100%.
« On peut dire que, globalement, ce programme marche très bien. Il y a quelques réglages qui ont été apportés pour le rendre plus efficace. Nous avons décidé de mettre l'accent plus sur les questions de transparence et de fiabilité, puisqu’il s'agit de faire en sorte que les jeunes de ces régions sortent d'une situation de vulnérabilité et qu'ils puissent avoir des activités qui leur permettent d'être totalement autonomes », s’est-il félicité.
Et pour parachever cette mission d'évaluation a-t-il ajouté, « Nous avons décidé de faire une mission du 9 au 12 novembre 2022 dans les trois régions du Poro, du Tchologo et de la Bagoué avec l'ensemble de nos partenaires techniques et financiers, notamment la Banque mondiale, l'Afd, l’Unicef, le Bit, le Pnud,... Avec bien évidemment les élus et cadres pour aller sur le terrain et nous rendre compte effectivement de la mise en œuvre de ces programmes et vérifier toutes les informations qui nous ont été rapportées par les différentes équipes ».
Le premier responsable de la jeunesse a assuré qu’une date sera fixée pour les trois autres régions, notamment le Bounkani, le Folon et le Kabadougou.
A l’en croire, cette rencontre avec les préfets de région, les présidents des conseils régionaux, les élus et les députés et ses collègues ministres a permis d'analyser ce programme dans sa mise en œuvre et d'identifier les défis. Tout en trouvant des réponses afin qu’au 31 décembre, le taux de réalisation soit à 100%.
« On peut dire que, globalement, ce programme marche très bien. Il y a quelques réglages qui ont été apportés pour le rendre plus efficace. Nous avons décidé de mettre l'accent plus sur les questions de transparence et de fiabilité, puisqu’il s'agit de faire en sorte que les jeunes de ces régions sortent d'une situation de vulnérabilité et qu'ils puissent avoir des activités qui leur permettent d'être totalement autonomes », s’est-il félicité.
Et pour parachever cette mission d'évaluation a-t-il ajouté, « Nous avons décidé de faire une mission du 9 au 12 novembre 2022 dans les trois régions du Poro, du Tchologo et de la Bagoué avec l'ensemble de nos partenaires techniques et financiers, notamment la Banque mondiale, l'Afd, l’Unicef, le Bit, le Pnud,... Avec bien évidemment les élus et cadres pour aller sur le terrain et nous rendre compte effectivement de la mise en œuvre de ces programmes et vérifier toutes les informations qui nous ont été rapportées par les différentes équipes ».
Le premier responsable de la jeunesse a assuré qu’une date sera fixée pour les trois autres régions, notamment le Bounkani, le Folon et le Kabadougou.