La question se pose d’ailleurs de savoir si le futur président du Faso sera un civil ou un militaire, en l’occurrence le capitaine Traoré lui-même ( Ph: BBC)
Au Burkina Faso, théâtre de deux coups d’État en huit mois, des Assises nationales doivent se tenir vendredi 14 et samedi 15 octobre. Objectif : désigner un président de transition, avant l’organisation d’élections en 2024 dans ce pays miné par les violences jihadistes. «
De la qualité de ces Assises nationales dépendra l’avenir du pays, s’exclame
L’Observateur Paalga à Ouagadougou,
puisque les forces vives de la Nation devront non seulement doter la transition d’une nouvelle charte (...), mais aussi et surtout trouver l’oiseau rare qui présidera à notre commune destinée les 24 mois à venir.
La question se pose d’ailleurs de savoir si le futur président du Faso sera un civil ou un militaire, en l’occurrence le capitaine Traoré lui-même, pointe
L’Observateur Paalga,
car même s’il a promis dès sa première prise de parole qu’il remettrait le pouvoir à celui qui serait désigné pour retourner au front, certaines voix s’élèvent pour le conjurer de garder "sa chose", pour laquelle il s’est battu (...). »
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