Le président de l’Alliance Pour la République- Côte d’Ivoire (A.P.R-CI), Florent Assielou. (DR)
Le président de l’Alliance Pour la République- Côte d’Ivoire (A.P.R-CI), Florent Assielou. (DR)
Affaire 49 soldats détenus au Mali : L’APR-CI invite les partis politiques ivoiriens à soutenir les actions du Gouvernement
Le président de l’Alliance Pour la République- Côte d’Ivoire (A.P.R-CI), Florent Assielou déplore l’attitude de certains partis politiques ivoiriens qui se désolidarisent quasiment du pouvoir au sujet de l’affaire ''49 soldats ivoiriens détenus au Mali '' depuis juillet 2022. Pour lui, tous les partis politiques devraient soutenir les actions du gouvernement dans le dénouement de ce problème.
« C’est dommage ! Ces partis politiques, auraient souhaité l’adhésion et le soutien de tous, s'ils étaient au pouvoir ! Il faut arrêter de prendre les populations ivoiriennes en otages pour des calculs et intérêts politiciens. Nous concevons mal que des Ivoiriens prennent parti pour un pays tiers dans une situation pareille... un moment donné, il faut savoir raison gardée, car nous n’avons qu’un seul pays... La Côte d’Ivoire. », a expliqué Florent Assielou dans une note d'information dont fratmat.info a eu copie, le 31 août 2022.
Poursuivant, le président de ce parti qui se veut d’obédience sociale-démocratique soutient que, le respect et le soutien des institutions de la République sont très important. C’est pourquoi, pour le règlement de cette affaire délicate, il invite le peuple ivoirien à s’en tenir aux documents produits par le gouvernement ivoirien. Parlant de l’arrestation de la présidente de l'organisation Alternative Citoyenne Ivoirienne (ACI), Pulchérie Gbalet, suite à sa visite au Mali, l’APR-CI donne pleinement raison aux autorités ivoiriennes. Pour ce parti qui prône la paix, l’action des gouvernants ivoiriens est logique, car tout pays normal aurait fait pareil.
Selon son président, le moment choisi par Pulchérie Gbalet pour se rendre au Mali n’était pas propice. « Lorsque deux pays, frères, vivent une tension, telle que celle qui prévaut, quiconque a une solution à proposer doit prendre attache avec le gouvernement. », a-t-il conseillé. Cependant, il plaide pour la relaxation de Pulchérie Gbalet. « Notre souhait, c’est qu’elle soit relaxée. Mais nous décrions l’action qu’elle a mené », précise-t-il.
Tout en n'excluant pas les actions sociales de la société civile en vue du dénouement, il aurait souhaité que dès son retour à Abidjan, Pulchérie Gbalet approche les dirigeants pour leur faire part de ce qu’elle a eu comme information au Mali. « Nous sommes d’accord que la société civile joue son rôle, mais nous ne sommes pas d’accord avec des actions solitaires autour de la même question, ça fait un peu désordre à notre sens. », a-t-il ajouté. Puis de rassurer qu’au nom des relations qui lient la Côte d’Ivoire et le Mali depuis des décennies, cette situation des 49 soldats sera réglée.
Pour rappel, L’APR-CI a été créé, le 17 octobre 2021 à Abidjan.
Poursuivant, le président de ce parti qui se veut d’obédience sociale-démocratique soutient que, le respect et le soutien des institutions de la République sont très important. C’est pourquoi, pour le règlement de cette affaire délicate, il invite le peuple ivoirien à s’en tenir aux documents produits par le gouvernement ivoirien. Parlant de l’arrestation de la présidente de l'organisation Alternative Citoyenne Ivoirienne (ACI), Pulchérie Gbalet, suite à sa visite au Mali, l’APR-CI donne pleinement raison aux autorités ivoiriennes. Pour ce parti qui prône la paix, l’action des gouvernants ivoiriens est logique, car tout pays normal aurait fait pareil.
Selon son président, le moment choisi par Pulchérie Gbalet pour se rendre au Mali n’était pas propice. « Lorsque deux pays, frères, vivent une tension, telle que celle qui prévaut, quiconque a une solution à proposer doit prendre attache avec le gouvernement. », a-t-il conseillé. Cependant, il plaide pour la relaxation de Pulchérie Gbalet. « Notre souhait, c’est qu’elle soit relaxée. Mais nous décrions l’action qu’elle a mené », précise-t-il.
Tout en n'excluant pas les actions sociales de la société civile en vue du dénouement, il aurait souhaité que dès son retour à Abidjan, Pulchérie Gbalet approche les dirigeants pour leur faire part de ce qu’elle a eu comme information au Mali. « Nous sommes d’accord que la société civile joue son rôle, mais nous ne sommes pas d’accord avec des actions solitaires autour de la même question, ça fait un peu désordre à notre sens. », a-t-il ajouté. Puis de rassurer qu’au nom des relations qui lient la Côte d’Ivoire et le Mali depuis des décennies, cette situation des 49 soldats sera réglée.
Pour rappel, L’APR-CI a été créé, le 17 octobre 2021 à Abidjan.