Élections:Les réclamations pour les législatives prévues du 5 au 13 août et les sénatoriales du 5 au 8 août

Mamadou Koné, le président du Conseil constitutionnel, attend les requêtes des contestataires. (Ph: Dr)
Mamadou Koné, le président du Conseil constitutionnel, attend les requêtes des contestataires. (Ph: Dr)
Mamadou Koné, le président du Conseil constitutionnel, attend les requêtes des contestataires. (Ph: Dr)

Élections:Les réclamations pour les législatives prévues du 5 au 13 août et les sénatoriales du 5 au 8 août

Le 08/08/22 à 21:38
modifié 08/08/22 à 21:38
La Commission électorale indépendante (Cei) a publié, le 4 août, la liste provisoire des dossiers des candidats retenus pour participer à l’élection partielle des députés à l’Assemblée et celle des sénatoriales qui se tiendront le 3 septembre.

Pour la course à l’Hémicycle, sur 11 candidatures déposées, une seule a été invalidée. Il s’agit de celle de Fofana Losséni, candidat titulaire et de son suppléant Dosso Mehoue Abdoul Kader dans la circonscription électorale de Bobi-Diarabana, commune et sous-préfecture, Séguéla sous-préfecture. La Cei a justifié ce rejet par le fait que que M. Dosso n’est pas inscrit sur la liste électorale.

En ce qui concerne les sénatoriales, deux dossiers de candidature, celui du Rhdp et du Pdci-Rda ont été validés pour ce scrutin dans le Haut Sassandra.

Le Conseil constitutionnel, dans un communiqué daté du 3 août, a informé que pour les législatives partielles, il reçoit les réclamations du 5 au 13 août au siège de l’institution, au Plateau. « Le président du Conseil constitutionnel rappelle que conformément à l’article 98 du code électoral, le droit de contester une éligibilité à l’élection des députés à l’Assemblée nationale appartient à tout électeur dans le délai de 8 jours francs à compter de la date de publication de la liste provisoire des candidats par la commission chargée des élections », peut-on lire dans la note.

Le communiqué a aussi invité tout électeur désireux de faire un recours pour les sénatoriales partielles, à le faire du 5 au 9 août. Le Conseil constitutionnel a fait cette déclaration toujours en s’appuyant sur l’article 140 du code électoral. « Le droit de contester une éligibilité à l’élection des sénateurs appartient à tout électeur dans le délai de 3 jours à compter de la date de publication de la candidature par la commission chargée des élections », précise le communiqué.


Le 08/08/22 à 21:38
modifié 08/08/22 à 21:38